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nt le rythme d’un songe, sans cesse brisé par les
élans
alternés ou confondus du désir et de la prière. On sort lentement d’u
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loir la vérité pure sur soi, c’est se refuser à l’
élan
vital qui nous crée sans cesse : l’analyse de sa solitude le laisse e
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uvreté le rejette dans une angoisse qu’il nomme «
élan
mortel ». Cette inversion de tout ce qui est constructif et créateur,
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ie à la volée », et donc connaître l’homme dans l’
élan
qui fait sa véritable unité. Je me borne à signaler encore un thème q
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nt, pour Arthur, sa « maladie », c’est encore l’«
élan
mortel » que décrivait Mon Corps et Moi. Quand l’analyse féroce de Cr