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çais pour pousser à bout l’expérience3. Ingénieux
équilibres
entre la raison et les sens, entre le moi et le monde : l’ennui est v
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alisme trop amer et celui du roman lyrique, par l’
équilibre
qu’il maintient entre ces deux inconscients : l’époque et l’être secr
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ce très nuancée maintient en une sorte d’instable
équilibre
, les tendances que ses contemporains ont poussées à l’extrême avec mo
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ut des doigts, crainte, sans doute, de troubler l’
équilibre
toujours instable des huit reflets de leur dignité. Mais je n’oublier