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rbey, on oublie la justesse de son analyse pour n’
évoquer
plus que des visions où se condense le sentiment du récit. Dans le Cœ
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’élégant, de « bien français » ; et le mot sang n’
évoque
ici qu’une tache de couleur, plus sentimental que cruel. « J’ai la be
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es, ce monde qui devient impuissant. Impossible d’
évoquer
un personnage précis pour lui faire endosser le blâme, mais comme l’h