1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 « grand lyrisme » à la Chateaubriand, voire à la Barrès , dont il est capable et qu’il lui faudra livrer au « feu de vérité »
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 un dilettantisme qu’ils ont peut-être appris dans Barrès . Il leur manque une certitude foncière, une foi en la valeur de l’act
3 est en profondeur : c’est une unité d’inquiétude. Barrès et Gide : ils ont construit des édifices très différents de style, et
4 rature, telle qu’elle apparaît chez les émules de Barrès comme chez ceux de Gide, qu’il faut préciser. L’éthique et l’esthétiq
5 e triomphant, pur du désir d’action qui empêtrait Barrès dans des dilemmes où l’art trouvait mal sa nourriture. Drieu la Roche
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
6 rier il tire tantôt à gauche tantôt à droite, sur Barrès , sur Wagner, sur quelques fantômes, sur le public. (Bientôt sur lui-m
4 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
7 gination. On comprend que ce doux-amer ait séduit Barrès , mais ne l’ait point trompé : « Avec son beau regard de rêve, — lit-o
8 déal d’étudiant assidu aux sociétés de musique… » Barrès cherchait dans ses châteaux en Espagne lamentablement réalisés les té