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« grand lyrisme » à la Chateaubriand, voire à la
Barrès
, dont il est capable et qu’il lui faudra livrer au « feu de vérité »
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un dilettantisme qu’ils ont peut-être appris dans
Barrès
. Il leur manque une certitude foncière, une foi en la valeur de l’act
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est en profondeur : c’est une unité d’inquiétude.
Barrès
et Gide : ils ont construit des édifices très différents de style, et
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rature, telle qu’elle apparaît chez les émules de
Barrès
comme chez ceux de Gide, qu’il faut préciser. L’éthique et l’esthétiq
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e triomphant, pur du désir d’action qui empêtrait
Barrès
dans des dilemmes où l’art trouvait mal sa nourriture. Drieu la Roche
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rier il tire tantôt à gauche tantôt à droite, sur
Barrès
, sur Wagner, sur quelques fantômes, sur le public. (Bientôt sur lui-m
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gination. On comprend que ce doux-amer ait séduit
Barrès
, mais ne l’ait point trompé : « Avec son beau regard de rêve, — lit-o
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déal d’étudiant assidu aux sociétés de musique… »
Barrès
cherchait dans ses châteaux en Espagne lamentablement réalisés les té