1 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
1 n’est pas sans rappeler celle des Nuits d’octobre de Nerval  ; forme qui permet à l’auteur de divaguer de la philosophie au lyrism
2 usset : mais voyez un Rousseau sans tendresse, un Nerval sans pudeur, un Musset ivre non plus de vin de France, mais d’alcools
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
3 rations, en sorte que l’espèce de romantisme à la Nerval auquel il aboutit coïncide avec un mouvement dont lui-même s’est plu
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
4 ’écoute plus : il pense à des Vénézuéliennes ou à Gérard de Nerval . Bientôt vous vous calmez. Car il semble aujourd’hui que ce globe dan
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
5 eussent tiré Sterne ou Goethe, mais, semblable à Gérard de Nerval , je sentais qu’il s’agissait d’autre chose… Il s’agit toujours d’autr