1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
1 e l’on sent. C’est dire que le livre vaut par son allure plus que par des qualités de composition ou de perfection formelle. P
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
2 ande surtout qu’on les attendrait, plus franche d’ allure . On ne sait ce qui la retient : son amour ? son manque d’amour ? Pour
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
3 eproche à l’auteur. Cette espèce de modestie de l’ allure est rare autant que sympathique, dans le temps que sévit l’inflation
4 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
4 t d’apparente simplicité. Le récit s’avance à une allure libre et tranquille, anglo-saxonne et peu à peu entraîne tout un bran
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
5 uer que tout, ici, est original, indigène, tant l’ allure des sentiers qui vous mènent tranquillement aux points de vue les plu
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
6 tout l’on doit admirer chez M. Du Bos. Et dans l’ allure des phrases, le rythme même de sa pensée. Parfois certes, un peu gêné