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e l’on sent. C’est dire que le livre vaut par son
allure
plus que par des qualités de composition ou de perfection formelle. P
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ande surtout qu’on les attendrait, plus franche d’
allure
. On ne sait ce qui la retient : son amour ? son manque d’amour ? Pour
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eproche à l’auteur. Cette espèce de modestie de l’
allure
est rare autant que sympathique, dans le temps que sévit l’inflation
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t d’apparente simplicité. Le récit s’avance à une
allure
libre et tranquille, anglo-saxonne et peu à peu entraîne tout un bran
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uer que tout, ici, est original, indigène, tant l’
allure
des sentiers qui vous mènent tranquillement aux points de vue les plu
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tout l’on doit admirer chez M. Du Bos. Et dans l’
allure
des phrases, le rythme même de sa pensée. Parfois certes, un peu gêné