1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
1 colaire ? À donner le change sur la pauvreté d’un art purement formel. Car c’est ici le tragique de cette mystification : l
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
2 ouveau volume de la collection des « Maîtres de l’ art moderne » est au moins le cinquième ouvrage publié en France sur Van
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Otto Flake, Der Gute Weg (septembre 1925)
3 re temps et un évident besoin d’impartialité. Son art bénéficie de cette vision. Je ne saurais résumer les nombreuses périp
4 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
4 bsédante volonté. Car on imagine difficilement un art plus dépouillé de détail extérieur ou d’enjolivure. La lecture de ces
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
5 se débattent les mêmes brouilles de famille entre Art et Morale, Pensée et Action… Ces deux moralistes adonnés à la culture
6 ction qui empêtrait Barrès dans des dilemmes où l’ art trouvait mal sa nourriture. Drieu la Rochelle tente la même fuite. Ma
7 sa vie, à ses sensations, à ses automatismes. En art , la fatigue est un des états les plus riches de visions nouvelles, et
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
8 elle est bien la nouveauté de son théâtre et de l’ art qu’il défend en peinture, en musique. Suppression du clair-obscur et
7 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
9 rtistiqués », — ils n’osent plus le mensonge de l’ art , et pas encore la vérité pure — Crevel décrit sans aucune transpositi
8 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
10 mps que l’on dénonce la confusion romantique de l’ art avec la vie, qui empoisonne et la morale et l’esthétique modernes. Et
11 s’il nie vraiment l’interaction de la vie et de l’ art , ou s’il la condamne plutôt, à cause des confusions qu’il y décèle. L
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
12 r… Mais combien cette analyse trahit Barbey : son art est justement de voiler les intentions du récit et de les exprimer se
10 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
13 plus viennois que naturel s’il parle de choses d’ art comme on fait dans Proust, si les passions qu’il nous peint sont ici
11 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
14 ouvé là un sujet qui convient admirablement à son art , où s’unissent aujourd’hui un réalisme discret mais précis et le sens
12 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean-Louis Vaudoyer, Premières amours (août 1927)
15 n du souvenir, d’une séduction certaine. C’est un art de détails ; mais si délicat et d’une si subtile convenance avec son
13 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, Les Conquérants (décembre 1928)
16 te des villes chinoises, Malraux fait preuve d’un art du détail où se révèle le vrai romancier. On serait parfois tenté de
14 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
17 de son enfance et de sa jeunesse comme ouvrier. L’ art d’Anderson est étonnant d’apparente simplicité. Le récit s’avance à u
15 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Saisir (juin 1929)
18 s est ici descendu plus profond en soi-même ; son art y gagne en densité, en émotion. Des mots simples, mais chacun dans sa