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ises qui risquent d’y perdre au moins deux grands
artistes
: Aragon, Éluard. Sans oublier Breton, enchanteur des images qui peup
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s’y bousculent ; de temps à autre une notation d’
artiste
ou de psychologue se glisse dans leur flot. Voilà le lecteur entraîné
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teville, La Folie de l’espace (avril 1926)q Un
artiste
de grand talent à qui la guerre a fait perdre le goût des théories d’
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tion de cette réminiscence soit assez facile et «
artiste
» on hésite à en faire reproche à l’auteur. Cette espèce de modestie
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e moelleux et de précision… À la dernière page, l’
artiste
fait une belle grimace : le lecteur ne l’imitera pas. be. Rougemon
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re si largement ? » demande certaine hargne à cet
artiste
de la prodigalité. — « Ah ! répond-il, j’aimerais bien pouvoir vivre
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(Racine), fait une œuvre d’art. Ou bien encore, l’
artiste
, usant de cette sorte de désinvolture qui lui est naturelle, confie à