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i, comme le fait M. Fernandez dans un essai sur l’
Autobiographie
et le Roman, dont pour ma part je suis loin d’admettre plusieurs thè
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eur que c’est bien composé. J’avoue prendre cette
autobiographie
tellement au sérieux que j’ai été bien étonné du passage où il rappel
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ssinat du corps humain, mais qui raconte dans son
autobiographie
que son désir constant était que tous les hommes vivant sous lui cons