1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
1 rmantes. (Vue sur des maisons pauvres un peu plus bas , avec du linge dans des courettes poussiéreuses.) On aboutit à une pl
2 les rues vides sous la pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un long corridor hanté d’ombres drapées, qui ne sont pas
3 le aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses , ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poè
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
4 t qui sont les plus émouvants, entre des collines basses grattées par les vents, aux arbres rares, mais aux replis si doucemen
5 n se cabre le rythme, avant la chute stridente et basse , prolongée. Peut-être ce soir-là, ai-je compris la Grande Plaine, et
6 ale dont l’approche déjà fait grésiller les notes basses du cymbalum, — et maintenant ferme les yeux sous la vague toujours un
7 re. Lac doré, horizon de collines pointues, rives basses , verdoyantes, toutes fraîches de musiquettes et de baigneuses ; quais
8 la nuit, j’ai rôdé dans la campagne aux collines basses , d’apparence rocheuse — ce sont des restes de volcans — blanches sous
9 qués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses , les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande Plaine e