1
nt, une intrigue puissante, des personnages d’une
belle
richesse psychologique. En fermant le livre on a presque l’impression
2
ms puissants de l’Asie sauront encore éveiller de
beaux
rêves. Il y a ceux qui repoussent une Asie ignorante du thomisme et c
3
ion les possède, les exalte, les affole. Les plus
beaux
types créés par Unamuno sont ces femmes dures et passionnées, Raquel
4
meurs ? Déjà un Mac Orlan, un Kessel ont donné de
beaux
exemples du parti que peut tirer le nouveau romantisme de ce chaos. S
5
aise de l’énorme cri de délivrance du peuple fou.
Belles
étincelles échappées d’un brasier. Pour les causes de l’incendie, voi
7
, tout de même nous avons un corps, et c’est très
beau
, Breton, de crier « Révolution toujours » — tant qu’il y a des gens p
8
des gens pour vous faire du pain ; et c’est très
beau
, Aragon, de ne plus rien attendre du monde, mais on voudrait que de m
9
s’il voulait…) o. Rougemont Denis de, « Adieu,
beau
désordre… (Notes sur la jeune littérature et la morale) », Bibliothèq
10
it de créer à notre vie moderne un décor utile et
beau
. Or « la grande ville, phénomène de force en mouvement, est aujourd’h
11
nquises. Il n’empêche que son livre manifeste une
belle
unité de pensée, et qu’il propose quelques directions très nettes de
12
ines herbes. Capitale de la douleurak, ce sont de
belles
syllabes sereines, et dans cette ville, Éluard est le plus séduisant,
13
et adonné à mal » (Calvin). Le tableau n’est pas
beau
, mais on y sent une « patte » qui révèle encore dans le fond quelque
14
ve, et pas embarrassé du tout pour vous lâcher un
beau
pavé mathématique au milieu d’une effusion « lyrique », histoire de n
15
r, a dit conséquemment beaucoup de choses vraies (
belles
). Il est même un des très rares parmi les jeunes qui ait vraiment don
16
traité de clown, cela ne va pas loin.) C’est une
belle
rage (ô combien partagée !) vainement passée (quitte à renaître heure
17
onner l’air bête à ceux qui le sont en créant une
belle
œuvre serait, par exemple, plus efficace. Aragon se retourne sans ces
18
sticulations, de gros mots et de discours en très
beau
style contre un monde très laid dont ils n’ont pas encore renoncé à c
19
t Barrès, mais ne l’ait point trompé : « Avec son
beau
regard de rêve, — lit-on dans l’Ennemi des Lois — son expression amou
20
e où l’on ne sait plus créer avec joie des formes
belles
, ce monde qui devient impuissant. Impossible d’évoquer un personnage
21
lement grave ; une voix douce et virile ; et quel
beau
titre ! « Saisir » n’est-ce point l’acte essentiel de la poésie ? Tou
22
er regard, dans un matin plein de mouettes — « Un
beau
bruit d’ailes me fait un ciel » — la vaporeuse beauté du lac de Neuch
23
li. Ce peintre se montre plus occidental dans les
beaux
volumes pleins de ces paysages, que dans ses dessins, dont Kikou Yama
24
précision… À la dernière page, l’artiste fait une
belle
grimace : le lecteur ne l’imitera pas. be. Rougemont Denis de, « [
25
retraite que de fauteuils. Et on me regarde. J’ai
beau
feindre l’intérêt le plus singulier pour ce château sur la rive, ils
26
regarder jaillir sans fin contre soi l’eau de ce
beau
Danube jaune qui est le plus inodore des fleuves. Dormir. Sans avoir
27
atafalque de bois, au milieu, recouvert d’un très
beau
tapis mince, ou bannière, avec des caractères turcs brodés en or. L’h
28
armi elles, des Tziganes, dont l’une affreusement
belle
dans un peignoir noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce caf
29
ite, et devient extrêmement exigeant, car le plus
beau
mensonge atteint à peine le degré d’intérêt d’une vérité banale, et s
30
Cheveux noirs d’aigle collés sur son large front,
belle
carrure ruisselante, il nous sourit, dans l’eau jusqu’à mi-corps, myt
31
erse Ilonka Babits (elle est aussi poète, et très
belle
), nous inscrivons nos noms au charbon sur le mur chaulé, Gachot prend
32
zon est aussi lointain qu’on l’imagine, tout a de
belles
couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air…
33
uf les demi-juifs — mais laids comme des paysans,
beaux
hommes aux traits lourds. Dans l’ivresse, leurs yeux s’agrandissent.
34
’observe, je n’observe rien. Il y a des femmes si
belles
qu’on en ferme les yeux. Quel style dans la liberté ! Il n’y a plus q
35
Il faut choisir entre les bonnes manières et les
belles
manières. Et quant à ceux qui n’ont pas le pouvoir de s’enivrer, ils
36
’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru
beau
, en faire le tour, mais voilà qui est affaire de pur caprice, tandis
37
Magda, toutes ces Maritza rieuses et déjà presque
belles
dans leurs petits sweaters — vais-je pour vous m’arrêter quelques jou