1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 ement co-génération ? Pour peu qu’ils sortent des cafés littéraires, nos poètes respirent le même air du temps. Leur original
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
2 si l’Auber de Jean Cassou ne va pas s’attabler au café en face des personnages de Jaloux. Et peut-être que la comtesse Rezzo
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
3 e de saison, vous vous attardez aux terrasses des cafés . Peut-être va-t-elle revenir avec son Johannes laqué. Ah ! comme vous
4 fait jurer sur la Bible de ne pas entrer dans les cafés . Et puis, c’est égal, ce soir, tout cela est sans importance, car voi
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
5 . Mais je m’égare, laissons-là ces moutons. 5. Café amer En Hongrie l’on est assailli par le pittoresque, mais il s’ag
6 noir et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce café trop amer qui pince la gorge. Dehors, nous ne parlons pas : le froid
7 alisme magyar. Son portrait affiché dans tous les cafés , dans les halls universitaires, brodé aux devantures des magasins de
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
8 aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre… Quelle autre rencontre espérer — maintenant ?) 19.