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change sur la pauvreté d’un art purement formel.
Car
c’est ici le tragique de cette mystification : la plupart des surréal
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sque bien de nous en rendre un peu plus esclaves.
Car
depuis Freud — dont ils se réclament imprudemment, — on sait ce que c
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usqu’au bout un roman de 500 pages comme Rabevel.
Car
si la liquidation des questions traitées est rapide, elle est complèt
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tion seulement qu’on a imaginé un péril oriental,
car
il semble bien que dans le domaine de la culture le péril n’existe qu
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. les deux réponses d’André Gide en particulier).
Car
la plupart des enquêtés se font de l’Orient une représentation vague
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encore et uniquement par leur obsédante volonté.
Car
on imagine difficilement un art plus dépouillé de détail extérieur ou
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; ce que d’ailleurs Mlle Simone Téry ne fait pas.
Car
elle veut éviter l’emballement et conserver dans l’admiration son sen
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ie après seulement toutes les morts du plaisir »,
car
elle sait « qu’entre les êtres, le bonheur est un lien sans durée. Se
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es que la raison ignore ou tyrannise aveuglément,
car
« nous avons dressé notre orgueilleuse raison à nous tromper sur tout
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l’une n’étant que le chemin qui mène à l’autre ?
Car
la foi naît de l’inquiétude autant que de la grâce, et régénère sans
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ou à Gérard de Nerval. Bientôt vous vous calmez.
Car
il semble aujourd’hui que ce globe dans son voyage « est arrivé à un
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vous ferais un devoir de ce plaisir. Un devoir !…
Car
hélas, l’on n’est pas impunément concitoyen de cet oncle Abraham qui
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est égal, ce soir, tout cela est sans importance,
car
voici « l’heure des petits arbres pourpres, l’heure où dans les bibli
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ivre sympathique ; et il vaut la peine de le dire
car
la chose n’est pas si fréquente dans la production actuelle. On retro
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ose, qui apaise le vain débat de notre esprit : «
Car
l’on pense beaucoup trop haut, et cela fait un vacarme terrible. »
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veilles qui valent de gros romans « bien faits ».
Car
il y a toujours assez de vérité dans une histoire où il y a de la poé
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is M. Benda distinguera, et ils seront confondus.
Car
il y a un sophiste en M. Benda, un polémiste qui joue de la raison ra
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évelopper noblement. Une chute dans le quotidien.
Car
, en somme, le Prophète Chauve est devenu le jardinier du Rozsadomb… M
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qui en ont envie, puis ceux qui en auront envie :
car
cela m’inciterait à chercher après coup des transitions, et c’est alo
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ur le sent vite, et devient extrêmement exigeant,
car
le plus beau mensonge atteint à peine le degré d’intérêt d’une vérité
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araît infiniment baroque, à peine compréhensible,
car
on ne choisit pas un sujet : on est sujet. Et tout ceci n’est rien qu
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vous conseille de n’y plus penser quelque temps…
Car
on ne trouve vraiment que ce qu’on a consenti de ne pas trouver sur l
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r d’orgueil blessé, mais qui emporte la sympathie
car
l’orgueil hongrois n’est point de ce que l’on gagne sur autrui, mais
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— chez les Tchèques déjà… Nous allons aux bains,
car
c’est dans la piscine que nous devons rencontrer le poète. Cheveux no
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la ruse hongroise qu’ils ne peuvent pas déjouer,
car
le Hongrois est ingénument rusé, à la façon des passionnés, non point
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ue la traduction de tels fragments est illusoire,
car
on ne peut songer à remplacer ces mots-notes par des syllabes de vale
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s auront toujours raison, mais n’auront que cela,
car
c’est l’ivresse15 seulement qui permet à l’esprit de passer d’une for
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t Andersen assure qu’elles parlent en égyptien, «
car
c’est la langue qu’elles apprennent de leurs mères ». Combien j’aime
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’est-ce qu’ils écoutent au-delà de leur musique —
car
aussitôt donnée la phrase, voici qu’une autre vient d’ailleurs, entra
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verre — il n’y a pure ivresse que de l’abandon —,
car
voici qu’à son tour il s’égare au bras d’une erreur inconnue, ton fan
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alité du monde, effacer ta dernière différence, —
car
on ne voit que ce qui est de soi-même, et conscient… C’est à cause d’
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es difficultés que ne saurait l’être le créateur.
Car
une telle conscience appartient au critique avant tout, et c’est pour