1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 es. Il nous montre « des Français qui pensent ces carnages inévitables, avec un bref soupir s’y résignent, puis tablent sur eux,
2 nent qu’une telle attitude est responsable de ces carnages  ». Naguère il était des premiers ; il s’affirme aujourd’hui des secon