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de barbarie, un assez malsain goût du sang. Tout
cela
s’est purifié dans le Chant funèbre. Et une phrase telle que « … Nous
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llièrisme » de tout son mysticisme protestant. Et
cela
n’est pas sans gêner M. Seillière. C’est peut-être pourquoi il insist
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l’exploitation des ruines. On sait le reste. Tout
cela
, Walpole ne le dit pas. Mais ses personnages le suggèrent de toute la
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penseurs, nos écrivains ont perdu le sens social.
Cela
devient frappant dans les générations nouvelles. Toute la jeune litté
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omprends la révolte des autres et quelles prières
cela
fait à Dieu », disait Drieu la Rochelle. Mais il faudra bien se remet
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er que de construire. Et l’on y prend vite goût.
Cela
tourne alors en passion de détruire, en haine de toute stabilité, de
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s par ensembles7 : symptôme de fatigue. Mais tout
cela
: dégoût universel, désir de violences, gratuité des pensées et des a
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té des pensées et des actes, rêves éveillés, tout
cela
ne dérive-t-il pas d’une fatigue immense. Nous voyons se fausser le r
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es ou à une relation cinématographique. Mais tout
cela
baigne dans le même lyrisme et s’agite sur un fond sombre et riche de
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, ou d’analyses de démences mystiques ; mais tout
cela
est sublimé dans un monde poétique où il paraît inconvenant d’introdu
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t. On n’a pas ménagé les critiques à cette œuvre.
Cela
tient surtout à sa forme : il est parfois agaçant de pressentir sous
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ans les cafés. Et puis, c’est égal, ce soir, tout
cela
est sans importance, car voici « l’heure des petits arbres pourpres,
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mpagnent une création littéraire. Bien sûr, c’est
cela
, le malaise d’écrire. Bopp est très intelligent. Et plein de verve, e
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enade » du héros de Bopp est une sorte de pensum.
Cela
rend peut-être moins convaincantes certaines de ses remarques sur l’i
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e préciosité ou quelques « pointes » faciles mais
cela
même ne manque pas de naturel… On peut regretter que ce livre ne réal
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nécessité » (et dans la bouche de ce libertaire,
cela
constituait un jugement !) Serons-nous longtemps encore dupes d’une
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brités locales. (Quant à Goethe, traité de clown,
cela
ne va pas loin.) C’est une belle rage (ô combien partagée !) vainemen
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les trouvent trop littérateurs. Rien d’étonnant à
cela
dans une époque où les valeurs de l’esprit sont en pratique universel
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tout un poète, un homme qui aime inventer et que
cela
console des nécessités modernes, dégradantes. Cet amour de l’inventio
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le plus méridional des conteurs américains. Avec
cela
, un réalisme, plein de verdeur et souvent d’amertume. Mais là où d’au
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esprit : « Car l’on pense beaucoup trop haut, et
cela
fait un vacarme terrible. » ay. Rougemont Denis de, « [Compte rend
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le pour qu’une telle interprétation voie le jour.
Cela
pourrait donner lieu à de mélancoliques réflexions sur le génie « poé
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’elle « mène loin… dans l’ordre moral ». Et quand
cela
serait ! dirons-nous, — avec le Benda qui ne trahit pas.) D’autre par
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e jugulée par une constante mauvaise humeur, tout
cela
compose une atmosphère poétique très dense et active. Depuis longtemp
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ovoquer une crise, bref, sans le payer cher. Tout
cela
est langage de bourse. Pour moi, je poursuivrai mon discours en faveu
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en ont envie, puis ceux qui en auront envie : car
cela
m’inciterait à chercher après coup des transitions, et c’est alors qu
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ue c’est pour des raisons techniques. (Est-ce que
cela
ne devrait pas, au contraire, aggraver le cas ?) Or l’intérêt d’un ré
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er, ils auront toujours raison, mais n’auront que
cela
, car c’est l’ivresse15 seulement qui permet à l’esprit de passer d’un
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on dit. (L’imprudence de penser dans l’insomnie !
Cela
tourne tout de suite à la débauche. Notre liberté de penser est absur
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e transport. Un vrai voyage, on ne sait jamais où
cela
mène, c’est une aventure qui relève de la métaphysique plus que de la
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oi, j’entrerais en plein Moi… Une clef ? Plutôt «
cela
» qui me permettrait de combler l’écart entre moi et Moi qui est la s
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rien à déclarer » après des semaines de voyage ?
Cela
va paraître improbable. On a dû voir sur moi que je le cherche, c’est
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ux qui ne désespèrent pas encore du Grand Œuvre ?
Cela
seul est certain : qu’il existe des signes. Peut-être faut-il d’abord
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des mains, — tu perds les clefs de tes valises… (
Cela
encore : m’arrêter à Vienne à cause des serrures… Peut-être y passer
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(Aussitôt je commence à comprendre ce qu’il est :
cela
qui me rendrait acceptable ce monde…) Malheur à celui qui ne cherche