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ant est dur pour ses erreurs plus encore que pour
celles
de l’adversaire, ce qui est beaucoup dire. Il y avait dans le Paradis
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ental, en sorte que cette enquête rejoint parfois
celle
qu’ouvrit la Revue de Genève sur « l’Avenir de l’Europe. » (Cf. les
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ie sauront encore éveiller de beaux rêves. Il y a
ceux
qui repoussent une Asie ignorante du thomisme et ceux qui pensent iné
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qui repoussent une Asie ignorante du thomisme et
ceux
qui pensent inévitable le choc de deux mondes, et que seule une intim
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e intime connaissance mutuelle l’adoucira. Il y a
ceux
qui à la suite de Claudel estiment que la question ne se pose pas, pu
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rincipe le germe de sa destruction.) Il y a enfin
ceux
qui refondent et combinent toutes ces opinions ; et ceux qui avouent
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i refondent et combinent toutes ces opinions ; et
ceux
qui avouent n’en point avoir, sincérité trop rare… Presque toutes les
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la littérature européenne d’avant-guerre mêlés à
ceux
des maîtres du renouveau idéaliste allemand et viennois, Hesse, Hofma
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ils forment un cortège pittoresque et désolant à
celui
qui, revenu de l’étranger dans le désordre de son pays, suivra obstin
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é. Leur Prologue pourrait presque aussi bien être
celui
d’une pièce de Pirandello. N’annonce-t-il pas que les personnages des
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els, très réels, de la réalité la plus intime, de
celle
qu’ils se donnent eux-mêmes dans leur pure volonté d’être ou de ne pa
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. Seillière — me paraît infiniment plus forte que
celle
d’un Maurras ou que celle d’un Maritain. Son unité est plus réellemen
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finiment plus forte que celle d’un Maurras ou que
celle
d’un Maritain. Son unité est plus réellement profonde, son point d’ap
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as de pensée plus vivante, ni de plus tonique que
celle
de ce « Pascal protestant ». k. Rougemont Denis de, « [Compte rend
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ntemporaine offre un spectacle bien passionnant :
celui
de la renaissance d’une littérature nationale à la fois cause et effe
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forme et traditionaliste d’inspiration, comme fut
celle
des Yeats, Synge, Joyce même… Trois noms qui permettent, je crois, de
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ès mal défini, et l’on court après sans fin. Même
ceux
qui ont perdu la croyance en un bonheur possible ou désirable subisse
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ocial, glorifie une morale résolument anarchiste.
Ceux
qui s’essaient à l’action, c’est encore pour cultiver leur moi. Ils y
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lle apparaît chez les émules de Barrès comme chez
ceux
de Gide, qu’il faut préciser. L’éthique et l’esthétique convergent da
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Et le mal est si cruellement isolé, commenté par
ceux
qui le portent en eux qu’il en paraît plus incurable. Ces jeunes gens
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nos psychologues est cet état presque inhumain de
celui
qui n’a pas dormi et qui « assiste » à sa vie, à ses sensations, à se
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morale de demain sera en réaction complète contre
celle
d’aujourd’hui, parce que nous sommes à bout. Il ne s’agit pas, encore
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risent pas la culture ; sans autre parti pris que
celui
de vivre, c’est-à-dire de construire ; sobres de langage et maîtres d
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et dans la connaissance de leur misère. Pareils à
ceux
dont Vinet disait qu’ils s’en vont « épiant toutes les émotions de l’
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ndition d’homme la plus nue ; la plus éloignée de
celle
qui permet le surréalisme. 10. Une équipe d’hommes solides suffirait
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ement purement lyrique, sa progression accordée à
celle
des événements inconscients. Certaines proses mystiques de Paulina au
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ailleurs que les miracles les plus étonnants sont
ceux
de la lumière. « Le mystère se passe en plein jour et à toute vitesse
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ivement ordonnée, où l’idée de la civilisation et
celle
de l’ordre sont chaque jour confondues ». Nous cherchons à conquérir
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ohérences pittoresques de ce petit livre. Quant à
ceux
que certaines envolées magnifiques et hagardes pourraient enthousiasm
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mbéciles », ricane-t-il ; et sans rire : « À mort
ceux
qui paraphrasent ce que je dis ». Il y a chez Aragon une folie de la
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nades dont la composition n’est pas sans rappeler
celle
des Nuits d’octobre de Nerval ; forme qui permet à l’auteur de divagu
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trange harmonie entre le climat des sentiments et
celui
des campagnes désolées où ils se développent. Paysages tristes et san
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Si quelques-uns de ses bijoux sont taillés comme
ceux
de Giraudoux, j’y vois un signe charmant d’amitié de l’aîné au plus j
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Jaloux évite le péril d’un réalisme trop amer et
celui
du roman lyrique, par l’équilibre qu’il maintient entre ces deux inco
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tions nouvelles et leurs maîtres soit lu par tous
ceux
qui cherchent à s’orienter dans la crise moderne. M. Daniel-Rops unit
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jeunes gens d’aujourd’hui. Il constate que l’une (
celle
de Gide) ne fait que différer notre inquiétude, tandis que l’autre «
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Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)ao À
ceux
qui se contentent du mot fumeux pour caractériser tout lyrisme german
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uvre (juin 1928)ar Livre passionnant pour tous
ceux
que Jules Verne passionne. Pour les autres, divertissant et spirituel
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seul écrivain dont l’influence soit comparable à
celle
du cinéma ! Claretie raconte que les détenus des maisons de correctio
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x, de considération. J’admire autant le talent de
celui
qui mène 60 parties d’échecs simultanément, et c’est naturel : je m’e
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Messieurs les Nymphes ». Mais donner l’air bête à
ceux
qui le sont en créant une belle œuvre serait, par exemple, plus effic
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lence ne doit pas entraîner, à leur point de vue,
celui
d’autrui sur eux-mêmes. Ils se tournent donc naturellement vers l’act
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ec même ne relève pas, et qui tire sa grandeur de
celle
du décor ? Guy de Pourtalès n’hésite pas à baptiser son héros « princ
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va jusqu’à la mort, inclusivement, n’étonnera pas
ceux
qui ont connu de semblables mythomanes. Le cas méritait d’être exposé
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épuise pas une question dont l’importance dépasse
celle
du cas pathologique. Il y a dans ce culte de la mythomanie qu’on a vu
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mé et légèrement absurde en face d’un récit comme
celui
d’Anderson : voici un homme qui raconte sa vie avec une émouvante sim
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de notre temps, ne fût-ce que pour faite honte à
ceux
qui sont encore capables d’une telle honte, de leur indifférence à l’
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ux serin ». Mais ces affirmations sont exactement
celles
qu’il fallait attendre de ces auteurs. Ce qu’on ne viendra pas disput
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s animaux dont la complexité ne le cède en rien à
celle
de l’introspection la plus poussée. Il invente aussi des mots et en f
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rêve. Le livre se résout dans une amertume vague.
Ceux
qui ont lu la Mort difficile de René Crevel ne s’étonneront ni du suj
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mesquinerie morale du milieu… Étrange misère que
celle
d’une génération qui, après tant de sarcasmes contre l’enfer bourgeoi
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es. Qui viendra rendre le sens de l’amour idéal —
celui
qui transfigure ? Le roman de M. Jullien de Breuil effleure un autre
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sadisme n’est pas beaucoup plus « horrible » que
celui
des rêveries de certaines pubertés ; quant à l’amour, Maldoror ne par
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… Ah ! l’embarras de voyager n’est rien auprès de
celui
d’expliquer pourquoi l’on est parti. Cependant, mes regards errant su
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rte un nom pareil est par là même extraordinaire.
Celui
qui ne croit pas à la vertu des noms reste prisonnier de ses sens ; m
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ome qui constitue à leurs yeux ma condamnation et
celle
des minus habentes qui me ressemblent. Au risque de les voir trépigne
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e sont pas des nonnes, bien que les voûtes soient
celles
d’un ancien couvent. Nous pénétrons dans une grande salle vivement éc
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aussi qui se réchauffent sur les degrés du poêle,
celles
-là ne chantant pas. Parmi elles, des Tziganes, dont l’une affreusemen
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rire d’abord les chapitres qui en ont envie, puis
ceux
qui en auront envie : car cela m’inciterait à chercher après coup des
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olennelle de nudité, entre le Palais du Régent et
celui
d’un des archiducs, quel décor à rêver le cortège d’un sacre ! J’y ai
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d’ailleurs, préférons cet impérialisme de l’âme à
celui
de la surproduction des machines et des enfants. C’est parce que les
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microcosme : la politique des peuples ressemble à
celle
des individus, pour ce qui est du moins, de mentir à soi-même. Mais l
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n’est-ce point le climat de la passion ? — C’est
celui
de la Hongrie14. 9. Une lettre de Matthias Corvin « Matthias, p
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ment rusé, à la façon des passionnés, non point à
celle
des arrivistes. 14. Parce que j’« exalte les valeurs de passion » —
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30)bi L’année du centenaire du romantisme sera
celle
aussi de la découverte de Hölderlin par la France. La Mort d’Empédocl
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t l’homme rationnel ; Empédocle, au contraire est
celui
qui passe toutes les mesures de l’esprit humain, parle aux dieux avec
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ns la langue fluide mais jamais abstraite qui est
celle
de ses Noces. Jouve est le plus « germanique » des poètes français d’
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le sentiment rare et grandiose que j’appellerais
celui
du tragique de la pensée. « Insensé, — penses-tu de figure en figure
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caillou. Ici, le sens des mots et des choses est
celui
d’un courant musical qui domine l’ensemble et le compose selon les lo
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onnes manières et les belles manières. Et quant à
ceux
qui n’ont pas le pouvoir de s’enivrer, ils auront toujours raison, ma
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oir de t’en tirer. Sinon… je t’envierais presque.
Celui
qui part pour la Hongrie sans talisman, s’il a du cœur, n’en revient
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mme le rêve pendant que bat la paupière lourde de
celui
qui succombe à l’excès du sommeil) — et me voici plus seul, avec une
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t l’on élevait la Morale du domaine des actions à
celui
de la pensée, de l’Apparence à l’Essence. D’un coup, tous les refoulé
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quand je m’en parle ? Tout en donnant le change à
celles
de mes pensées qui exigent des apparences positives. Ainsi donc, j’ai
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nt elle n’existe plus, l’Hermétique Société18 de
ceux
qui ne désespèrent pas encore du Grand Œuvre ? Cela seul est certain
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soi-même. Et c’est alors seulement qu’aux yeux de
ceux
qui surent désirer de la voir, apparaît la « Loge » invisible. J’atte
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ontre espérer — maintenant ?) 19. « Tous
ceux
qui quittent ce monde vont à la Lune — lit-on dans les upanishads. —
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a qui me rendrait acceptable ce monde…) Malheur à
celui
qui ne cherche pas. Malheur à celui qui ne trouve pas. Malheur à celu
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e…) Malheur à celui qui ne cherche pas. Malheur à
celui
qui ne trouve pas. Malheur à celui qui se complaît dans ce qu’il trou
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pas. Malheur à celui qui ne trouve pas. Malheur à
celui
qui se complaît dans ce qu’il trouve. 15. Toute l’échelle des ivre