1 voilà qui s’avance, foulant les hautes herbes du ciel . » Le gaucho a dompté Pégase et caracole dans les étoiles. J’avoue qu

2 lus près de l’infini au fond de soi qu’au fond du ciel . l. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Jules Supervielle, Gravit

3 soir, tandis que les fenêtres s’ouvraient vers le ciel de Florence… « Du sang, de la volupté et de la mort », un titre s’eff

4 après tant d’autres, comme chaque soir un nouveau ciel . Il l’a transcrite en brèves notations lyriques suivant le rythme d’u

5 de mouettes — « Un beau bruit d’ailes me fait un ciel  » — la vaporeuse beauté du lac de Neuchâtel. Mlle Kikou Yamata a su l

6 udapest enferme quelques paysages romantiques aux ciels pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce « Portrait d’un homme » deva

7 par la seule ligne dure de l’horizon s’oppose au ciel qui retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or rose s’évanouit…

8 ve, d’une plaine, d’un couchant plus grandiose au ciel et sur la terre plus secret que dans ton pays. Tu attendais une révél