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mpose son absolu. Une soumission au réel durement
consentie
, voilà ce que nous admirons dans le Chant funèbre. Ce mot de grandeur
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condition de son progrès moral. C’est ainsi qu’il
consent
, non sans une imperceptible satisfaction, l’aveu d’une fondamentale i
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e temps… Car on ne trouve vraiment que ce qu’on a
consenti
de ne pas trouver sur l’heure. (En petit et intéressé, ce geste s’app