1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 mpose son absolu. Une soumission au réel durement consentie , voilà ce que nous admirons dans le Chant funèbre. Ce mot de grandeur
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
2 condition de son progrès moral. C’est ainsi qu’il consent , non sans une imperceptible satisfaction, l’aveu d’une fondamentale i
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
3 e temps… Car on ne trouve vraiment que ce qu’on a consenti de ne pas trouver sur l’heure. (En petit et intéressé, ce geste s’app