1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 urmente humaine ne la moleste ni ne l’avive plus, cruelle et désolée comme cette « flamme pensante » dans l’ossuaire de Douaumo
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
2 resse que ranime un soleil lointain va tourner en cruelle mélancolie. Pourquoi, Henri de Closain, quitter le domaine enchanté o
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
3 r de ces êtres dont la détresse est d’autant plus cruelle qu’elle est contenue sous des dehors trop polis. Une fois fermé le li
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Montclar (février 1927)
4 aisir n’a pas exténués. Mais alors quelle avidité cruelle , et peut-être tendre, à se faire souffrir rejette l’un vers l’autre c
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
5 ici qu’une tache de couleur, plus sentimental que cruel . « J’ai la beauté facile et c’est heureux. » Il y a aussi un certain