1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 Ceux qui s’essaient à l’action, c’est encore pour cultiver leur moi. Ils y cherchent un fortifiant, je ne sais quelle excitation
2 Et, le plus souvent, sur soi-même. On écrit pour cultiver son moi, pour l’éprouver et le prémunir, pour y découvrir des possibi
3 e nos facultés de plaisir : déjà nous en sommes à cultiver certaines douleurs, plaisirs rares ; et les dissonances les plus aigu
4 rdre et désordre, raison et folie, etc. Si je les cultive simultanément il est clair que les tendances négatives l’emportent, i
5 n : au lieu de tout composer en soi, on veut tout cultiver , et en fait l’on se contente d’une violence, d’un vice, d’une inquiét
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
6 t de l’amour. Mais les jeunes gens de ce temps ne cultivent point cette fièvre. Et comme la morale ne sait plus leur imposer de f