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ites en hâte à l’usage de sensibilités surmenées.
Dégoût
, parce que tout a été essayé. Dégoût, parce qu’on se connaît trop, et
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s surmenées. Dégoût, parce que tout a été essayé.
Dégoût
, parce qu’on se connaît trop, et que plus rien ne retient. (Or on ne
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uelque chose, contre soi, contre une difficulté.)
Dégoût
de la vie, dégoût du bonheur, dégoût de soi, — on l’étend vite à la s
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re soi, contre une difficulté.) Dégoût de la vie,
dégoût
du bonheur, dégoût de soi, — on l’étend vite à la société entière. Dé
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difficulté.) Dégoût de la vie, dégoût du bonheur,
dégoût
de soi, — on l’étend vite à la société entière. Dégoût d’une civilisa
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t de soi, — on l’étend vite à la société entière.
Dégoût
d’une civilisation qui aboutit logiquement à cet épuisant et forcené
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illage : la guerre. Certains s’en tiennent à leur
dégoût
et l’exploitent. Ainsi se légitime le surréalisme, qui vomit le monde
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pagnât votre ultimatum à Dieu. Mais, secouant son
dégoût
, un Montherlant s’abandonne au salut par la violence. Une sensualité
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de ses aînés. Encore un qui s’est complu dans son
dégoût
; mais jusqu’au point d’y percevoir comme un appel du Dieu perdu. Il
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nsembles7 : symptôme de fatigue. Mais tout cela :
dégoût
universel, désir de violences, gratuité des pensées et des actes, rêv