1
rmente. Mais il faudrait d’abord qu’ils se soient
délivrés
d’eux-mêmes pour que ce mot, ce geste, soient possibles. C’est d’Arma
2
admirable, dont la brutalité si longtemps désirée
délivre
Jacques d’un passé obsédant, d’une jeunesse trop complaisante à son t
3
liés à l’obsession qu’il voulait avouer pour s’en
délivrer
peut-être. Cette sincérité ne serait-elle à son tour que le masque d’
4
tout à ma chance hongroise en ce premier réveil —
délivré
. Chez moi je suis la proie de l’angoisse du courrier. J’attends la le
5
e. Et souvent je pressens qu’il existe une clef :
délivré
de moi, j’entrerais en plein Moi… Une clef ? Plutôt « cela » qui me p