1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 uloir éviter, et ces grandeurs pour n’en pas trop descendre  ». N’est-ce pas une éclatante mise au point ? Et venant de l’auteur d
2 nt de l’auteur du Songe, d’un de ces hommes qui «  descendirent  » du front dans notre paix lassée, ne prend-elle pas une pathétique s
2 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
3 les savants sont réellement dans la lune, ou bien descendent au fond des mers adorer la Liberté et jouer de l’orgue sous les yeux
3 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Saisir (juin 1929)
4 stant regard. » Le poète des Gravitations est ici descendu plus profond en soi-même ; son art y gagne en densité, en émotion. De
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
5 es. Dormir. Sans avoir pu retrouver cette mélodie descendue d’un balcon où chantait la Schumann ; sans avoir pu retrouver le nom
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
6 ui nous apportèrent le tarot et la roulotte, dont descendent le bridge et la bohème, c’est-à-dire un symbole de la servitude et un