1
ui ne fera plus longtemps impression. C’est grand
dommage
pour les lettres françaises qui risquent d’y perdre au moins deux gra
2
isemblance assez piquante de ses péripéties. Quel
dommage
que l’auteur l’ait alourdi d’une idéologie, souvent plus généreuse qu
3
al, plein de malices et d’envies de pleurer. Quel
dommage
qu’il s’égare parfois dans les maisons des grands bourgeois, où tout,