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lyrisme » à la Chateaubriand, voire à la Barrès,
dont
il est capable et qu’il lui faudra livrer au « feu de vérité » qui br
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u moins ce que proclame M. Breton en un manifeste
dont
la pseudo-nouveauté nous retiendra moins que la significative pauvret
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n rendre un peu plus esclaves. Car depuis Freud —
dont
ils se réclament imprudemment, — on sait ce que c’est que la « libert
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n’est pas ainsi que nous sortirons d’une anarchie
dont
les causes semblent avant tout morales. Les tendances encore un peu v
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meilleur motif à l’admiration que tout le lyrisme
dont
on a voulu charger la « vie héroïque » de Vincent. M. Colin n’a pas c
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ées et de jugements contradictoires, et de termes
dont
le sens change avec l’échelle de valeurs de l’écrivain. Énumérons pou
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ière cherchait dans l’époque romantique un témoin
dont
le jugement eut « l’autorité d’un verdict essentiellement chrétien su
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is la substance originale de la plupart des idées
dont
lui-même s’est fait le moderne champion. Pour ce qui concerne le Vine
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sant d’oiseaux de la mer ? » « Quel est cet homme
dont
l’âme fait des signes solennels ? » Une voix lente aux méandres songe
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mps. Leur originalité se retrouve dans la manière
dont
ils tentent de fuir l’inquiétude où ils baignent. Celui-ci vient à pe
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restera toujours « indéfinissable ». M. Walpole,
dont
nous commençons aujourd’hui un roman bien différent, a vu la Révoluti
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tentatives morales, si singulières soient-elles —
dont
le grand public reste le témoin souvent sceptique ou railleur. Au cœu
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nstruit des édifices très différents de style, et
dont
les façades s’opposent avec hostilité. Dans l’intérieur des deux mais
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ne lucidité parfois douloureuse ses propres actes
dont
il s’étonne mais qu’il se garde de juger5. Il y a véritablement une l
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les pousser jusqu’à l’absurde. Surenchère morale
dont
le début de la Tentative amoureuse offrait déjà une singulière préfig
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ns la connaissance de leur misère. Pareils à ceux
dont
Vinet disait qu’ils s’en vont « épiant toutes les émotions de l’âme,
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s en les lui nommant », ils décrivent le tourment
dont
sortira peut-être une foi nouvelle ; mais qu’ils sachent, quand viend
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ez-le aux prises avec une petite cité patricienne
dont
il devra portraiturer les gentilshommes archéologiques et les vieille
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exercices poétiques. Mais quelle intelligence, et
dont
l’audace est de se vouloir plus juste que bizarre. Il sait bien d’ail
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— « mémoire, l’ennemie » — avec une intelligence
dont
la triste profession est de détruire le désir qu’elle excite par curi
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isse en face de quelques réactions physiologiques
dont
la pauvreté le rejette dans une angoisse qu’il nomme « élan mortel ».
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Urbanisme est une étude technique et un pamphlet
dont
l’argumentation serrée éclate parfois en boutades mordantes, en brève
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dans un essai sur l’Autobiographie et le Roman,
dont
pour ma part je suis loin d’admettre plusieurs thèses beaucoup trop a
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oust et sa théorie des « intermittences du cœur »
dont
Fernandez donne une critique décisive. Et c’est justement par opposit
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». Le Paysan de Paris est une suite de promenades
dont
la composition n’est pas sans rappeler celle des Nuits d’octobre de N
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ges tristes et sans violence, autour de ces êtres
dont
la détresse est d’autant plus cruelle qu’elle est contenue sous des d
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sages tordus de passion. Cette fin est admirable,
dont
la brutalité si longtemps désirée délivre Jacques d’un passé obsédant
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rval auquel il aboutit coïncide avec un mouvement
dont
lui-même s’est plu à relever les indices chez ses jeunes contemporain
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llement dessinés un de ces drames tout intérieurs
dont
il dit : « Personne ne peut juger du drame qui se joue entre deux êtr
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échappent, des amours impossibles, des histoires
dont
on ne sait pas la fin ni le sens véritable, mais seulement qu’elles o
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pour les derniers chapitres, denses, violents, et
dont
le profond ricanement se prolonge en nous. Je crois entendre Jacob qu
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s. Rêves éveillés, entre deux gorgées d’un élixir
dont
il voudrait bien nous faire croire que le diable est l’auteur. Beauco
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d des verres, se posent sur les cordes d’une lyre
dont
ils font grésiller l’accord, une patte en l’air, becquètent le cœur d
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mélancolie. Un détail piqué adroitement, papillon
dont
frémissent encore les ailes intactes ; l’évocation toute nervalienne
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ervalienne en sa nostalgie, de la jeune étrangère
dont
on rêve à 15 ans ; et voici ce je ne sais quoi, ce délice furtif, ce
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x. C’est un recueil de divers articles et essais,
dont
certains — le Message de Rilke — sont du meilleur Jaloux, de ce Jalou
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itôt que je vis Rilke, je compris que cet univers
dont
je rêvais n’était pas un objet de songe mais d’expérience ». Mais une
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e qu’un précurseur ? Jules Verne est un créateur,
dont
les inventions se suffisent et suffisent à notre joie. Ce ne sont pas
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and créateur de mythes modernes, du seul écrivain
dont
l’influence soit comparable à celle du cinéma ! Claretie raconte que
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contre un état de choses justement détesté, mais
dont
ils participent plus qu’ils ne le croient. Certes il était urgent de
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ours en très beau style contre un monde très laid
dont
ils n’ont pas encore renoncé à chatouiller le snobisme. at. Rougem
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it bien le laisser voir. La qualité de l’illusion
dont
se nourrit Louis II n’est ni aussi pure ni aussi rare qu’on voudrait
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ner et Nietzsche lui fournissent deux tons fermes
dont
le jeu donne aux nuances assez troubles du personnage central une rés
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à une courte nouvelle, d’ailleurs assez dense, et
dont
le mérite est d’être simple et précise dans l’exposé, sans rien simpl
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l’épithète de mythomane n’épuise pas une question
dont
l’importance dépasse celle du cas pathologique. Il y a dans ce culte
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blique. Qu’un tel acte serait adéquat ! Tamerlan,
dont
la spécialité était l’assassinat du corps humain, mais qui raconte da
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eut enfin « saisir » dans leur réalité les choses
dont
elle s’est dégagée et qu’elle voit dans une autre lumière : « Tout se
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a vérité. Ce serait un de ces miracles de liberté
dont
nous avons besoin pour croire que le monde actuel n’est pas un cas dé
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sent la thèse de la Trahison des Clercs 11, thèse
dont
la Fin de l’Éternel ne fait que reprendre la défense contre ses adver
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uvent malencontreux, ou qu’il invente des animaux
dont
la complexité ne le cède en rien à celle de l’introspection la plus p
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en les parant d’une grâce malicieuse et sensuelle
dont
nos yeux helvètes les croyaient par trop dépourvues… Cette charmante
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mes pleins de ces paysages, que dans ses dessins,
dont
Kikou Yamata a dit ailleurs la précision curieusement nipponne. Quell
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u’ici M. Pierre-Quint, malgré la liberté d’esprit
dont
il témoigne en maint endroit, se soit laissé quelque peu impressionne
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es essaient de décrire sans l’avoir jamais vu, et
dont
nous savons seulement que tout y a son écho le plus pur. Le voyage tr
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sentier qui monte en zigzag à travers des jardins
dont
les arbustes sèchent, vers une espèce de grande villa baroque assez d
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e dallée, surchauffée, entre des murs assez hauts
dont
l’un est peut-être la façade d’une chapelle ; mais la porte est fermé
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er la ville (en collaboration avec saint Gellert,
dont
la statue colossale, sur un rocher, les bras levés, dirige la circula
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n » et leur morale qui ne parle que d’obligations
dont
on ne saurait à la légère se débarrasser sans courir les risques12 le
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yen de toutes sortes de ruses et de scepticismes,
dont
le plus simple consiste à traduire ce que l’on voit. Cette banque à l
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es-là ne chantant pas. Parmi elles, des Tziganes,
dont
l’une affreusement belle dans un peignoir noir et blanc… Je ne puis a
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sse. Mon voisin qui a la tête de François-Joseph,
dont
il fut peut-être valet, nomme à leur passage les Karolyi, les Festeti
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s droits, appuyés sur leurs sabres d’or recourbés
dont
les poignées entre leurs doigts gantés étincellent. Parfois un collie
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ionnelle.) La liqueur de pêche rend démonstratif,
dont
on vide trois verres d’un trait en guise de salut. C’est alors que se
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qui allez demander raison à vos hôtes de la façon
dont
ils traitaient, au temps de leur puissance, les allogènes infiltrés d
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neuf et parfois sauvage, social ou futuriste, et
dont
la « furia » serait assez hongroise… Mais l’expression la plus libre
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e souvent européens de goûts et de curiosités, et
dont
Michel Babits est aujourd’hui le chef de file. Des amis m’emmènent le
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mmense et froide, dominant cette plaine onduleuse
dont
les vagues se perdent dans une poussière violacée à l’horizon — chez
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ète. Les quatrains sont ici précédés de Fragments
dont
je me demande s’il était bien légitime de les traduire. On a respecté
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le premier pays que je n’ai pas envie d’élaguer ;
dont
je ne me compose pas de morceaux choisis16. Il y a une grande ville,
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ouvoir vivre comme je vis ! » Voici les cigognes,
dont
Andersen assure qu’elles parlent en égyptien, « car c’est la langue q
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es, qui nous apportèrent le tarot et la roulotte,
dont
descendent le bridge et la bohème, c’est-à-dire un symbole de la serv
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ues, à peine modulées, qui donnent le vertige, et
dont
soudain se cabre le rythme, avant la chute stridente et basse, prolon
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long silence soutenu, comme un appel à la rafale
dont
l’approche déjà fait grésiller les notes basses du cymbalum, — et mai
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s secrets qui feraient peur aux femmes, cet objet
dont
parfois, au comble de la turbulence de tes jeux, un violon décrit vit
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e l’ai-je aimée d’un amour égoïste, comme un être
dont
on a besoin et en qui l’on chérit surtout ce dont on manque : touchan
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dont on a besoin et en qui l’on chérit surtout ce
dont
on manque : touchantes annexions, pieux mensonges du cœur qui traduis
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culière plus importante que cette vérité générale
dont
tout le monde se réclame et dont personne ne vit… Et certes un tel am
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vérité générale dont tout le monde se réclame et
dont
personne ne vit… Et certes un tel amour est un amour mineur. Mais qui
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’autres vies, pour approcher de tous côtés un But
dont
tu ne sais rien d’autre que sa fuite : n’est-il pas cet Objet qui n’a
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sur des sentiments indéfinis, à cause de ce pari
dont
tu n’as vu l’enjeu qu’un seul instant — nos rêves sont instantanés —