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les flammes, les soleils et aussi les grimaces de
douleur
de ses tableaux. Il faut louer Paul Colin de n’avoir rien caché des m
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laisir : déjà nous en sommes à cultiver certaines
douleurs
, plaisirs rares ; et les dissonances les plus aiguës prennent la plac
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tes les émotions de l’âme, et lui multipliant ses
douleurs
en les lui nommant », ils décrivent le tourment dont sortira peut-êtr
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ait plus de quels souvenirs ; jusqu’au soir où la
douleur
nette d’un amour réveillé l’envahit. Et Closain rencontre, dans l’iné
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aste et profond comme l’époque. « Voulez-vous des
douleurs
, la mort ou des chansons ? » On a l’hallucination du décor des capita
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origines. Le vieux père s’effondre de honte et de
douleur
. « On vend de l’étoffe… eux ils se vendent ! » Mais Jacob a renié ses
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il y a dans l’œuvre de René Crevel un sens de la
douleur
et un sérieux humain qui forcent la sympathie. ai. Rougemont Denis
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Paul Éluard, Capitale de la
douleur
(mai 1927)aj Nocturnes aux caresses coupantes comme certaines herb
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de, « [Compte rendu] Paul Éluard, Capitale de la
douleur
», Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mai 1927, p.
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t de Liszt et de Chopin, c’était l’amour, donc la
douleur
; ici, c’est l’absence d’amour, par refus de souffrir. Mais chez un ê
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temporelle, n’ayant cure des statistiques — et sa
douleur
aussi, douleur d’orgueil blessé, mais qui emporte la sympathie car l’
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yant cure des statistiques — et sa douleur aussi,
douleur
d’orgueil blessé, mais qui emporte la sympathie car l’orgueil hongroi