1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
1 veau. (Après tant de cocktails, quelle saveur a l’ eau claire !) Quelques autres se recueillent encore dans l’attente angois
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
2 lançant parmi les roseaux d’une baie ses poules d’ eaux noires. Il y fallait cette féminité ingénue et précieuse, toujours pr
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
3 à Albert Gyergyai. 1. Le dormeur au fil de l’ eau Où s’asseoir ? Le pont est encombré de jambes de dormeuses ; il fa
4 tendre, et regarder jaillir sans fin contre soi l’ eau de ce beau Danube jaune qui est le plus inodore des fleuves. Dormir.
5 travers ces quartiers si clairs, arbres et jets d’ eau  ; sans avoir pu retrouver, des conversations de ce bal, autre chose q
6 ain n’étant pas encore sortie… Dormir au fil de l’ eau , entre l’étrange nuit d’un autre bal et cette perspective de voyage a
7 le active et créatrice. Le reste : des porteurs d’ eau … Dans l’inextricable confusion d’injustices à quoi devait mener le wi
8 belle carrure ruisselante, il nous sourit, dans l’ eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de la petite vi
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
9 fantôme éternel, ton « Désir désiré ». 16. Les eaux fades du Balaton Deux jours après, dégrisé, je nageais dans les ea
10 Deux jours après, dégrisé, je nageais dans les eaux fades du Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer Noire, et je
11 é, je nageais dans les eaux fades du Balaton. Ces eaux , je crois, s’en vont à la mer Noire, et je n’en connais pas les fées,