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availlerait le levain des vertus guerrières. « Il
faut
que la paix, ce soit vivre. » Par tout un livre libéré de souvenirs h
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lorsqu’on parle de cette œuvre : je ne sais s’il
faut
en voir la raison dans la force de la personnalité révélée ou dans la
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ire à la Barrès, dont il est capable et qu’il lui
faudra
livrer au « feu de vérité » qui brûle dans son temple intérieur, s’il
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aussi les grimaces de douleur de ses tableaux. Il
faut
louer Paul Colin de n’avoir rien caché des médiocrités de cette vie :
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ertie du peuple qui donnait tant de mal lorsqu’il
fallait
l’éveiller, l’entraîne au-delà du but. Le Tarramagnou voit son œuvre
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t les Gandhi, demi-européanisés. Ceci convenu, il
faut
reconnaître que l’enquête des Cahiers du Mois donne un fort intéressa
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ent de parcourir quelque superficialité, du moins
faut
-il le louer d’avoir conservé une vision générale de notre temps et un
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n publique, il est trop tard pour les éduquer, il
faudrait
balayer. Je parle en général, sachant bien qu’un Romier, un Bainville
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les partis, on comprendra ce que je veux dire. Il
faudrait
balayer, — et mettre qui à la place ? Nos penseurs, nos écrivains ont
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s émules de Barrès comme chez ceux de Gide, qu’il
faut
préciser. L’éthique et l’esthétique convergent dans la littérature d’
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raphe de toute la littérature moderne. Il n’a pas
fallu
longtemps aux Français pour pousser à bout l’expérience3. Ingénieux é
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fait à Dieu », disait Drieu la Rochelle. Mais il
faudra
bien se remettre à manger, tout de même nous avons un corps, et c’est
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ite que prétendent mener les surréalistes, il n’a
fallu
que le temps pour une folie de s’emballer. La plupart des romans de j
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génération de cobayes » remarque Paul Morand.) Il
faut
agir, ou bien être agi. Donner une conscience à l’époque, ou se défai
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pas de la Société ; ils savent que pour lutter il
faut
des armes et ne méprisent pas la culture ; sans autre parti pris que
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tement résolu dès les premières pages, mais qu’il
faut
louer Mme Rivier d’avoir posé courageusement. Dirai-je que l’abus des
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sacrée, le Secret professionnel, etc.) Sans doute
faudrait
-il préciser ce qu’il entend par ordre, et montrer que si cet ordre l’
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on sous cet aspect comme sous les autres, il nous
faut
mieux que des dictateurs : des Architectes, de l’esprit et de la mati
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ers humain ». M. Fernandez a tout le talent qu’il
faut
pour lui faire acquérir droit de cité. Voici enfin un critique qui sa
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rale et l’esthétique modernes. Et à ce propos, il
faut
souhaiter que M. Fernandez aborde par ce biais l’œuvre de Gide, qui p
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s taurologiques avec lesquels, pour communier, il
faudrait
sans doute être né sous le signe du Taureau. Mais il sera pardonné à
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e sourire, on le sent ; pourtant l’on sourit : il
faut
bien croire qu’il y a là un talent, charmant, glacé, spirituellement
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qualités et des défauts pareillement énormes. Il
faut
remonter loin dans notre littérature pour trouver semblable dominatio
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iper le charme perfide qui les tourmente. Mais il
faudrait
d’abord qu’ils se soient délivrés d’eux-mêmes pour que ce mot, ce ges
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verie d’un homme qui en sait long… Et, certes, il
faut
être un peu mage pour porter tant de richesses avec cette mélancoliqu
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aniel-Rops, Notre inquiétude (avril 1927)ag Il
faut
souhaiter que ce témoignage sur les générations nouvelles et leurs ma
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au sérieux en France par quelques jeunes gens. Il
faut
louer Drieu d’avoir échappé au surréalisme en tant qu’il n’est que le
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eux pour caractériser tout lyrisme germanique, il
faudra
opposer l’excellent petit livre d’Edmond Jaloux. C’est un recueil de
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e de la « vérité trop évidente » ; alors qu’il la
faudrait
, sans rien fausser, transcender… aw. Rougemont Denis de, « [Compte
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aconte sa vie avec une émouvante simplicité et il
faudrait
avoir la grossièreté de lui répondre d’un air connaisseur que c’est b
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de poèmes est comme une initiation au silence. Il
faut
s’en approcher avec une douceur patiente, et le laisser créer en nous
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tive poétique de Rimbaud, l’on s’étonne qu’il ait
fallu
plus d’un demi-siècle pour qu’une telle interprétation voie le jour.
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ais ces affirmations sont exactement celles qu’il
fallait
attendre de ces auteurs. Ce qu’on ne viendra pas disputer à M. Benda,
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amata, Saisons suisses (mars 1930)be Peut-être
faut
-il venir du Japon pour accueillir du premier regard, dans un matin pl
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roseaux d’une baie ses poules d’eaux noires. Il y
fallait
cette féminité ingénue et précieuse, toujours prête à épouser tout le
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s’y sont trompés. M. Gide déclarait naguère qu’il
fallait
voir en Lautréamont « le maître des écluses pour la littérature de de
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Le pont est encombré de jambes de dormeuses ; il
faudrait
réveiller tant de beautés redoutables pour atteindre la dernière chai
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ione, ce « Portrait d’un homme » devant lequel il
faut
se taire pour écouter ce qu’il entend. 3. Au tombeau de Gül Baba
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le lendemain, m’échappant du programme, il a bien
fallu
que je recherche le chemin du Rozsadomb. « Vous n’y verrez, m’avait-o
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. Doutes sur la nature du Sujet Je crois qu’il
faut
que je raconte mon voyage « à la suite », renonçant à écrire d’abord
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up de nouilles. Mais voici, par exemple, ce qu’il
faudrait
essayer d’obtenir : que la grande majorité des gens ne deviennent pas
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société est fondée sur la peur du risque. 13. Il
faut
ajouter aux autres causes de l’incompréhension des journalistes la ru
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mbre 1930)bj 11. Le retour d’Esztergóm Il
faut
se pencher aux portières et laisser l’air furieux emmêler les cheveux
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et en effet, que serait un lyrisme distingué ? Il
faut
choisir entre les bonnes manières et les belles manières. Et quant à
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vole sur place, mais tout se met à fuir, alors il
faut
voler plus vite pour rattraper ces apparences adorables… Si je « lâch
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onde trop légère. Mais pour connaître un lac, il
faut
d’abord s’y plonger ; et ensuite, s’il vous a paru beau, en faire le
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es appellent leur désert, — cette zone vide qu’il
faut
traverser avant de parvenir à la Réalité. Entre « déjà plus » et « pa
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oyage jamais que dans son propre sens ! — Mais il
faut
voyager pour découvrir ce sens ! — Qu’as-tu vu que tu n’étais prêt à
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u’as-tu vu que tu n’étais prêt à voir ? — Mais il
fallait
aller le voir ! La vie est presque partout la même… — Mais en voyage
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trangement mêlées. 18. Les clefs perdues Il
faudrait
sortir à l’air frais, mais chaque porte est obstruée par un douanier,
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. Est-ce encore un rêve ? Je comprends bien qu’il
faudrait
ouvrir ces valises, mais j’ai perdu mes clefs. L’œil du douanier cons
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est certain : qu’il existe des signes. Peut-être
faut
-il d’abord les découvrir tous par soi-même. Et c’est alors seulement
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qu’une fois l’on aimera. Et les uns disent qu’il
faut
connaître pour aimer ; les autres, aimer pour connaître, alors qu’au
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i saura jamais la vérité sur aucun être ? Et s’il
fallait
attendre pour aimer !… Je me souviens de ces terrains de sable noir,