1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 nt il est capable et qu’il lui faudra livrer au «  feu de vérité » qui brûle dans son temple intérieur, s’il veut rester dig
2 et vraiment le coryphée d’une génération casquée. Feu consumateur de toute faiblesse, flamme d’une pureté si rare en notre
2 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
3 ges soudainement invisibles, je distingue le doux feu bleu de mon obsession. L’Objet Inconnu, — quand je pense à ce qu’en i
4 du douanier conseille des aveux complets. J’ai le feu à la tête, mais je suis innocent puisque enfin il n’est pas dans ma v