1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 tion casquée. Feu consumateur de toute faiblesse, flamme d’une pureté si rare en notre siècle, qu’elle paraît parfois, lorsque
2 ne l’avive plus, cruelle et désolée comme cette «  flamme pensante » dans l’ossuaire de Douaumont. Puis la vie l’exalte de nouv
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
3 sant un corps minable, il ne restera plus que les flammes , les soleils et aussi les grimaces de douleur de ses tableaux. Il fau
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
4 « L’un garde encore la connaissance au sein d’une flamme plus grande, l’autre seulement d’une plus faible… Le grand poète n’es
5 ardent auquel un souffle tempétueux arrache cette flamme trop grande pour son support. Reste une cendre où longtemps encore pa
6 igure en figure — voir l’âme ? — Tu iras dans les flammes . » Quant aux documents sur la folie de Hölderlin que MM. Groethuysen