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tion casquée. Feu consumateur de toute faiblesse,
flamme
d’une pureté si rare en notre siècle, qu’elle paraît parfois, lorsque
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ne l’avive plus, cruelle et désolée comme cette «
flamme
pensante » dans l’ossuaire de Douaumont. Puis la vie l’exalte de nouv
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sant un corps minable, il ne restera plus que les
flammes
, les soleils et aussi les grimaces de douleur de ses tableaux. Il fau
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« L’un garde encore la connaissance au sein d’une
flamme
plus grande, l’autre seulement d’une plus faible… Le grand poète n’es
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ardent auquel un souffle tempétueux arrache cette
flamme
trop grande pour son support. Reste une cendre où longtemps encore pa
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igure en figure — voir l’âme ? — Tu iras dans les
flammes
. » Quant aux documents sur la folie de Hölderlin que MM. Groethuysen