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e, un arbre coupé découvrant le manoir perdu, des
fumées
sur un paysage d’hiver et soudain sous la lueur d’un incendie, deux v
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placées au hasard dans l’espace vide où tourne la
fumée
des cigares. Assis sur la banquette, quelques bougres isolés produise
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elques bougres isolés produisent en silence cette
fumée
, les yeux à terre, dans l’attente. Nous sommes assis autour d’une tab
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! — Je ne sais plus. — Le train s’attarde dans sa
fumée
, on respire une lourde obscurité qui sent l’enfer. Je ne pense plus q