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Henry de Montherlant, Chant
funèbre
pour les morts de Verdun (mars 1925)a Henry de Montherlant, hériti
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atin, le Songe, les Olympiques. Et voici le Chant
funèbre
, adieu à la guerre et aux jeux, avant de partir pour de nouvelles con
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ût du sang. Tout cela s’est purifié dans le Chant
funèbre
. Et une phrase telle que « … Nous sommes sûrs de ne pas nous tromper
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nsentie, voilà ce que nous admirons dans le Chant
funèbre
. Ce mot de grandeur revient souvent lorsqu’on parle de cette œuvre :
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de, « [Compte rendu] Henry de Montherlant, Chant
funèbre
pour les morts de Verdun », Bibliothèque universelle et Revue de Gen