1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)a Henry de Montherlant, hériti
2 atin, le Songe, les Olympiques. Et voici le Chant funèbre , adieu à la guerre et aux jeux, avant de partir pour de nouvelles con
3 ût du sang. Tout cela s’est purifié dans le Chant funèbre . Et une phrase telle que « … Nous sommes sûrs de ne pas nous tromper
4 nsentie, voilà ce que nous admirons dans le Chant funèbre . Ce mot de grandeur revient souvent lorsqu’on parle de cette œuvre :
5 de, « [Compte rendu] Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun  », Bibliothèque universelle et Revue de Gen