1
ur avoir contemplé Verdun, en tête à tête avec le
génie
de la mort. Mais alors, à quoi sert d’exalter, d’une si émouvante sor
2
dégagent avec évidence. Van Gogh fut une proie du
génie
. L’homme tel que nous le peint Paul Colin, est peu intéressant. On en
3
dissidents. Le miracle, c’est que le plus sauvage
génie
ait choisi un être de cette espèce pour le tourmenter et le transfigu
4
vre qui ne dut rien à l’homme, d’une œuvre de pur
génie
. Vincent Van Gogh, génie sans talent. c. Rougemont Denis de, « [Co
5
omme, d’une œuvre de pur génie. Vincent Van Gogh,
génie
sans talent. c. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Paul Colin, V
6
Europe menant cette immense enquête manifeste son
génie
méthodique, son universelle et inépuisable curiosité. Mais, de même q
7
xviiie prenait surtout conscience de son propre
génie
, l’Europe d’aujourd’hui semble chercher dans une confrontation avec l
8
pe réside dans sa « puissance de choix », dans le
génie
d’abstraction qui a produit la géométrie grecque. D’autres attribuent
9
e « J’appartiens à la grande race des torrents ».
Génie
inégal s’il en fut, voici parmi trop de talents intéressants, un écri
10
donner lieu à de mélancoliques réflexions sur le
génie
« poétique » français… Mais non, nous préférons voir ici l’un de ces
11
l’expression la plus libre et la plus vivante du
génie
littéraire de cette race me paraît bien avoir été donnée par le group
12
, l’un des plus admirables et des plus mystérieux
génies
poétiques de notre ère. On doit beaucoup de reconnaissance à M. André
13
s la profondeur ». Comment ne point songer ici au
génie
qui, dans le même temps, figure l’antithèse de Hölderlin : l’« économ
14
un George non pas autrement qu’il n’aborderait un
génie
français, et sur un pied véritablement européen. L’envergure en quelq
15
la plus propre à dégager l’élément spécifique des
génies
qu’elle « approche » : on pourrait l’appeler une critique des obstacl
16
tuition, les « problèmes » qui contraignirent tel
génie
à produire son œuvre. Le danger de cette méthode, c’est que, donnant