1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Chant funèbre pour les morts de Verdun (mars 1925)
1 ur avoir contemplé Verdun, en tête à tête avec le génie de la mort. Mais alors, à quoi sert d’exalter, d’une si émouvante sor
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Colin, Van Gogh (août 1925)
2 dégagent avec évidence. Van Gogh fut une proie du génie . L’homme tel que nous le peint Paul Colin, est peu intéressant. On en
3 dissidents. Le miracle, c’est que le plus sauvage génie ait choisi un être de cette espèce pour le tourmenter et le transfigu
4 vre qui ne dut rien à l’homme, d’une œuvre de pur génie . Vincent Van Gogh, génie sans talent. c. Rougemont Denis de, « [Co
5 omme, d’une œuvre de pur génie. Vincent Van Gogh, génie sans talent. c. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Paul Colin, V
3 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Les Appels de l’Orient (septembre 1925)
6 Europe menant cette immense enquête manifeste son génie méthodique, son universelle et inépuisable curiosité. Mais, de même q
7 xviiie prenait surtout conscience de son propre génie , l’Europe d’aujourd’hui semble chercher dans une confrontation avec l
8 pe réside dans sa « puissance de choix », dans le génie d’abstraction qui a produit la géométrie grecque. D’autres attribuent
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
9 e « J’appartiens à la grande race des torrents ». Génie inégal s’il en fut, voici parmi trop de talents intéressants, un écri
5 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Rolland de Renéville, Rimbaud le voyant (août 1929)
10 donner lieu à de mélancoliques réflexions sur le génie « poétique » français… Mais non, nous préférons voir ici l’un de ces
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
11 l’expression la plus libre et la plus vivante du génie littéraire de cette race me paraît bien avoir été donnée par le group
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
12 , l’un des plus admirables et des plus mystérieux génies poétiques de notre ère. On doit beaucoup de reconnaissance à M. André
13 s la profondeur ». Comment ne point songer ici au génie qui, dans le même temps, figure l’antithèse de Hölderlin : l’« économ
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
14 un George non pas autrement qu’il n’aborderait un génie français, et sur un pied véritablement européen. L’envergure en quelq
15 la plus propre à dégager l’élément spécifique des génies qu’elle « approche » : on pourrait l’appeler une critique des obstacl
16 tuition, les « problèmes » qui contraignirent tel génie à produire son œuvre. Le danger de cette méthode, c’est que, donnant