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vre libéré de souvenirs héroïques, peut-être trop
grands
pour la paix, c’est vers de plus sereines exaltations qu’il va porter
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les romans « intéressants » ou « curieux » ; le «
grand
lyrisme » à la Chateaubriand, voire à la Barrès, dont il est capable
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tique » qui, avoue Rimbaud, entre encore pour une
grande
part dans l’« alchimie du verbe » ; et je ne puis m’empêcher d’accuse
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mage qui ne fera plus longtemps impression. C’est
grand
dommage pour les lettres françaises qui risquent d’y perdre au moins
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françaises qui risquent d’y perdre au moins deux
grands
artistes : Aragon, Éluard. Sans oublier Breton, enchanteur des images
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mant la paix. M. Fabre avait là les éléments d’un
grand
roman : autour d’un sujet de vaste envergure, et brûlant, une intrigu
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livre on a presque l’impression qu’il a réussi ce
grand
roman… Qu’y manque-t-il ? Un style ? L’absence de style, n’est-ce pas
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découverte du monde par l’Europe intellectuelle.
Grand
siècle de critique pour lequel nos contemporains accumulent les docum
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M. Massis, par exemple, qui cependant produit un
grand
nombre de citations à l’appui de ses sophismes, ne se livre pas moins
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uve au tableau des auteurs édités depuis lors les
grands
noms de la littérature européenne d’avant-guerre mêlés à ceux des maî
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ique. Ce n’est que dans sa discrétion à louer une
grande
œuvre qu’on trouvera la mesure de son admiration et le gage de sa lég
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veulent être, subissent, une fois qu’ils sont, le
grand
malentendu de la personnalité. Tandis que chez Unamuno une volonté d’
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de ce nouveau chapitre qu’il vient d’ajouter à sa
grande
étude sur les rapports du christianisme et du romantisme. M. Seillièr
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lante les richesses intellectuelles et morales du
grand
vaudois. Vraiment, tout ce qui semble viable et humain dans la critiq
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ois noms qui permettent, je crois, de parler d’un
grand
siècle littéraire irlandais ; ce que d’ailleurs Mlle Simone Téry ne f
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ns le détail de la vie d’une ville. Il sait qu’un
grand
mouvement est la résultante de millions de petits. Voici naître la ré
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ns un cœur, puis dans une famille. Et une fois le
grand
bouleversement accompli dans la « Cité secrète » de la vie privée, qu
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d’ailleurs assez peu choquants, que le revers de
grandes
qualités de réalisation d’idées en faits ou en situations dramatiques
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du réduit, et se blottit là, sur le sol, les yeux
grands
ouverts dans le vide, sans rien voir. Ainsi le moujik devant le bolc
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es morales, si singulières soient-elles — dont le
grand
public reste le témoin souvent sceptique ou railleur. Au cœur de la c
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nervée lui permet de brutaliser quelque peu les «
grands
problèmes », et le voilà reparti dans un égoïsme triomphant, pur du d
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mieux, dit encore Vinet, ne voir d’abord que les
grands
traits de sa nature, ne connaître que les grands mots de la langue mo
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grands traits de sa nature, ne connaître que les
grands
mots de la langue morale, suivre à l’égard de soi-même la méthode de
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es petites misères, en compose d’un seul coup une
grande
misère, et par ce moyen nous met tout d’abord en présence, non de nou
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Folie de l’espace (avril 1926)q Un artiste de
grand
talent à qui la guerre a fait perdre le goût des théories d’écoles et
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patricien que dans la création d’un caractère de
grand
peintre. Pourtant, malgré des longueurs, on ne lira pas sans plaisir
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notre vie moderne un décor utile et beau. Or « la
grande
ville, phénomène de force en mouvement, est aujourd’hui une catastrop
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stallisation d’un rêve de joie et de raison où de
grandes
ordonnances élèvent leur chant. Utopie ! Oui, si notre civilisation s
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dans les prairies célestes, pour avoir donné une
grande
gloire aux jeunes hommes ! » Mais ce jeune homme qui écrivit naguère
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ure française. Il le proclame « J’appartiens à la
grande
race des torrents ». Génie inégal s’il en fut, voici parmi trop de ta
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la fois mystique et anarchique : ce sont bien les
grands
traits de notre inquiétude. (Mais peut-être M. Rops a-t-il trop négli
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par l’argent qu’on domine notre âge : il devient
grand
industriel, assure sa fortune au prix du peu cynique reniement de ses
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eure où dans les bibliothèques désertes glisse un
grand
souffle oblique plein de fraîcheur et de pardon. » am. Rougemont D
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es poètes savent se perdre. Et c’est bien sa plus
grande
ruse que d’avoir emprunté le véhicule à la mode pour conduire des mil
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e jolis livres d’étrennes dans les œuvres du plus
grand
créateur de mythes modernes, du seul écrivain dont l’influence soit c
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térature si pédante qu’elle exclut un de nos plus
grands
conteurs sous prétexte qu’il n’est styliste ni psychologue ? Laissero
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nsi l’image d’un romantisme assez morose ; mais à
grande
échelle. M. de Pourtalès a su rehausser le tableau avec beaucoup d’ad
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ince russe et entretient autour de sa vie le plus
grand
mystère. Cependant il aime à raconter certaines scènes terrifiantes d
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e pourrait-il pas être considéré un jour comme le
grand
tueur de son époque ? Rendre impuissant c’est à coup sûr tuer. Or on
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début, puis plus tard encore, dans les songes des
grandes
personnes, — puis tous se perdent, comme des souvenirs, et l’on retro
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ommage qu’il s’égare parfois dans les maisons des
grands
bourgeois, où tout, soudain, devient plus terne. Mais bien vite un in
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minceur décrit la passion d’une jeune fille de la
grande
bourgeoisie pour une gamine qui lui sert de modèle dans son atelier.
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somme, que reprendre, quitte à les parodier, les
grands
thèmes du romantisme. Mais il les a poussés à un paroxysme verbal qui
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crois bien, jeunesse… Je me suis endormi dans une
grande
maison calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. 2. La
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notre raison de vivre. Mais combien votre sort, ô
grands
empêtrés ! me paraît enviable : vous au moins connaissiez ce qui caus
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omme le soleil se couchait, nous avons repassé un
grand
pont vibrant et nous sommes rentrés en Europe. Mais dès le lendemain,
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ins dont les arbustes sèchent, vers une espèce de
grande
villa baroque assez décrépite, décor en pierre brune peu solide, rong
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tte banque à la façade violette, or et bleue, aux
grandes
lignes verticales peinturlurées — elle n’a rien d’étrange, si l’on so
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lles d’un ancien couvent. Nous pénétrons dans une
grande
salle vivement éclairée. Murs chaulés, et de nouveau de hautes voûtes
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et intéressé, ce geste s’appelle coquetterie ; en
grand
et gratuit, sacrifice.) … feuilletons un peu ma Hongrie. 7. Les ma
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ple, ce qu’il faudrait essayer d’obtenir : que la
grande
majorité des gens ne deviennent pas enragés dès qu’ils perçoivent de
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ant du Nyugât (l’Occident), revue fondée par deux
grands
poètes : André Ady et Michel Babits. Ady, le sombre et pathétique, es
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encore la connaissance au sein d’une flamme plus
grande
, l’autre seulement d’une plus faible… Le grand poète n’est jamais aba
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s grande, l’autre seulement d’une plus faible… Le
grand
poète n’est jamais abandonné par lui-même ; il peut au-dessus de lui-
55
l un souffle tempétueux arrache cette flamme trop
grande
pour son support. Reste une cendre où longtemps encore palpiteront de
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t ; saisir la danseuse, tourbillonner, pousser de
grands
cris ; tourbillonner en sens inverse ; frapper des talons toujours pl
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rs et des cris modulés, et toute la frénésie d’un
grand
souffle qui se serait mis à tourbillonner sur place. 14. L’amour e
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me compose pas de morceaux choisis16. Il y a une
grande
ville, un grand lac, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay
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e morceaux choisis16. Il y a une grande ville, un
grand
lac, une plaine et une seule vigne de véritable Tokay. Et point de ce
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ssés, des juifs, des paysans, des communistes, de
grands
nobles, et des Tziganes. D’ailleurs, le bourgeois supporterait diffic
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modernes, de statues, de pylônes plantés dans un
grand
désordre de piétons et de chars à bœufs parmi les trams. Les habitant
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ce : or le rêve de l’enfant, c’est de devenir une
grande
personne. On me l’a dit, c’est vrai : cette ville historique est auss
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prolongée. Peut-être ce soir-là, ai-je compris la
Grande
Plaine, et que par sa musique j’étais aux marches de l’Asie. En sorta
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ciété18 de ceux qui ne désespèrent pas encore du
Grand
Œuvre ? Cela seul est certain : qu’il existe des signes. Peut-être fa
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dernières de la ville de Debrecen, au bord de la
Grande
Plaine encore rougeâtre de soleil couchant. J’y suis venu par hasard,
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noires aux palais vides mais hantés, et dans les
grands
cafés du centre… Quelle autre rencontre espérer — maintenant ?) 1