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ra plus que les flammes, les soleils et aussi les
grimaces
de douleur de ses tableaux. Il faut louer Paul Colin de n’avoir rien
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, il se dégage de ce roman un désespoir sec, sans
grimace
. Cette intelligence et cette sensibilité ont quelque chose de trop ai
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ion… À la dernière page, l’artiste fait une belle
grimace
: le lecteur ne l’imitera pas. be. Rougemont Denis de, « [Compte r