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té — peut-être trop nombreuses — qui composent ce
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volume. Les points de vue sont si différents, si différentes même les
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ù se condense le sentiment du récit. Dans le Cœur
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, c’était un parc avant l’orage, le rose sombre d’une joue brûlante et
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e » s’accommode mal de tant de gesticulations, de
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mots et de discours en très beau style contre un monde très laid dont
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beaucoup de ces petites merveilles qui valent de
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romans « bien faits ». Car il y a toujours assez de vérité dans une h
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se fond dans une loterie qui peut-être n’a pas de
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lot, et jamais, je crains bien, jamais je ne parviendrai à le regrett