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e contrôle que les autres nous imposent », dit un
héros
de Mauriac. C’est un « homme seul » qu’a peint « par le dedans » M. J
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ure volonté d’être ou de ne pas être… ». Mais les
héros
de Pirandello, s’ils veulent être, subissent, une fois qu’ils sont, l
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nt bien les ancêtres des nouvelles générations de
héros
de roman, lesquels sont tous éperdument égoïstes. Égoïstes avec une p
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l est ce besoin si général de s’incarner, dans le
héros
de son roman, de se voir vivre, dans son œuvre ? C’est ici la concept
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t le surréalisme. De l’acte gratuit commis par un
héros
de roman, à la vie gratuite que prétendent mener les surréalistes, il
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rythme des désirs jamais simultanés de ses petits
héros
. M. Spitz cherche à faire sourire, on le sent ; pourtant l’on sourit
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re ces confidences qu’elle livre si facilement au
héros
plus confiant et secrètement incertain de ce roman. À la veille de se
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deux inconscients : l’époque et l’être secret du
héros
. Il sait mieux que quiconque aujourd’hui faire éclater dans un cadre
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autant que par la sympathie de l’auteur pour ses
héros
. Indulgence et regrets, un ton qui permet le tact dans la hardiesse.
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-vis du phénomène littéraire. La « Promenade » du
héros
de Bopp est une sorte de pensum. Cela rend peut-être moins convaincan
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or ? Guy de Pourtalès n’hésite pas à baptiser son
héros
« prince de l’illusion et de la solitude ». Mais un prince rêveur n’e
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i encadré et fixé au mur. Gül Baba est le dernier
héros
musulman qui ait fait parler de lui en Hongrie. Il s’appelait en véri