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’ingénieuses métaphores quiconque chercherait une
idée
là-dessous, — ne réussit pas toujours chez Breton à masquer la banali
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se perdra ici dans un ensemble kaléidoscopique d’
idées
et de jugements contradictoires, et de termes dont le sens change ave
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ui composent l’Almanach Fischer donnent une juste
idée
de ce que fut la littérature d’avant-garde entre 1900 et 1910. Depuis
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dernier roman sans exposer et discuter toutes les
idées
qu’elles illustrent. Les personnages discutent certes, mais leurs act
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vaudois la substance originale de la plupart des
idées
dont lui-même s’est fait le moderne champion. Pour ce qui concerne le
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ue le revers de grandes qualités de réalisation d’
idées
en faits ou en situations dramatiques. Je donnerai tous les essais de
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plaît à répéter que nous vivons dans le chaos des
idées
et des doctrines, et qu’il n’existe pas d’esprit du siècle, hors un c
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econnaissons à la base de cette œuvre inégale des
idées
vieilles comme Rousseau sur les droits de la passion, — et dans sa tr
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ression trop technique ou obscure, une richesse d’
idées
neuves et fortes, mais péniblement comprimées. Ce défaut de forme est
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à M. Fernandez un certain recul par rapport à ses
idées
, on le sent un peu gauche encore dans les positions conquises. Il n’e
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e 1926)y L’auteur veut amuser en nous quelques
idées
graves en leur présentant les miroirs de personnages cocasses à souha
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urope « une barbarie attentivement ordonnée, où l’
idée
de la civilisation et celle de l’ordre sont chaque jour confondues ».
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Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les
idées
(mai 1927)al « De quoi s’agit-il ? de détruire ou de rafistoler ?
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endu] Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les
idées
», Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mai 1927, p.
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onde du Pacifique. On retrouvera ici beaucoup des
idées
que la Tentation de l’Occident exprimait sous une forme abstraite et
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st aussi, mais à coups de faits, une discussion d’
idées
. Il est surtout la description d’une angoisse que le nihilisme de M.
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e en demeure. Je suis loin de partager toutes les
idées
de M. Benda, sur le plan philosophique en particulier, où je me sens
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server que la « fin de l’éternel », la chute de l’
idée
dans la matière, est un phénomène exactement aussi vieux que le monde
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que lui ne s’entend définir et classer choses et
idées
en catégories « rationnelles », c’est-à-dire fausses mais claires, qu
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hes dans une mosquée vide que personne n’a plus l’
idée
de visiter. » Mais comment ne pas voir qu’un lieu qui porte un nom pa
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uite magique. Or il est délicieux de réaliser une
idée
fixe injustifiable : c’est le plaisir même de l’enfance. Je portais d
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ffeurs vautrés, la casquette de travers sur leurs
idées
sociales, pareils aux chauffeurs de toutes les villes, conduisent dan