1
e ici à un ton de mage qui ne fera plus longtemps
impression
. C’est grand dommage pour les lettres françaises qui risquent d’y per
2
psychologique. En fermant le livre on a presque l’
impression
qu’il a réussi ce grand roman… Qu’y manque-t-il ? Un style ? L’absenc
3
alité et d’une ironie romantiques, laisse la même
impression
de grandeur désolée qu’un Greco. Mais il n’y a pas les couleurs, ni l
4
ore les hommes politiques, mais on a si souvent l’
impression
qu’ils battent la mesure devant un orchestre qui, sans eux, jouerait
5
emblables ? Ainsi le lecteur superficiel aurait l’
impression
que je suis zur Sache, que je parle de mon sujet, — étant admis que m
6
jamais achevée, donne moins que les Poèmes cette
impression
bizarre d’être d’aujourd’hui. C’est qu’elle est de demain plutôt, — t