1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
1 purement poétique dans un monde qu’il s’est créé. Jamais banal, il est parfois facile : la description du monde qu’il invente
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 secrètement de construire et de nous construire. Jamais l’on ne fut plus loin de l’idéal goethéen : au lieu de tout composer
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cocteau, Rappel à l’ordre (mai 1926)
3 e Cocteau est qu’il se veuille poète. Il ne l’est jamais moins qu’en vers. Sa plus incontestable réussite à ce jour est le Sec
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jacques Spitz, La Croisière indécise (décembre 1926)
4 e sorte d’unité vivante dans le rythme des désirs jamais simultanés de ses petits héros. M. Spitz cherche à faire sourire, on
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
5 r. Une confidence, un baiser, et il ne la reverra jamais . Il aime encore sa femme, « mais comme on aime une petite maison de p
6 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
6 prennent les hommes en liberté. Mais ils ne sont jamais méchants, et seulement aux dernières pages du livre, un peu amers… On
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
7 hrase, l’unique phrase que Richard Strauss m’aura jamais adressée en cette vie : « Bonsoir, Monsieur, je suis fatigué, je vais
8 e que les poètes essaient de décrire sans l’avoir jamais vu, et dont nous savons seulement que tout y a son écho le plus pur.
9 une loterie qui peut-être n’a pas de gros lot, et jamais , je crains bien, jamais je ne parviendrai à le regretter… » L’ironie
10 e n’a pas de gros lot, et jamais, je crains bien, jamais je ne parviendrai à le regretter… » L’ironie indulgente et cette piti
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
11 ie difficile, trois fois remise à pied d’œuvre et jamais achevée, donne moins que les Poèmes cette impression bizarre d’être d
12 seulement d’une plus faible… Le grand poète n’est jamais abandonné par lui-même ; il peut au-dessus de lui-même, s’élever auss
13 Jean Jouve a traduits dans la langue fluide mais jamais abstraite qui est celle de ses Noces. Jouve est le plus « germanique 
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
14 question de transport. Un vrai voyage, on ne sait jamais où cela mène, c’est une aventure qui relève de la métaphysique plus q
15 un qui se réveille dans ma tête.) — On ne voyage jamais que dans son propre sens ! — Mais il faut voyager pour découvrir ce s
16 rien à déclarer, quelle tristesse. Mais qu’a-t-on jamais pu « déclarer » d’important ? Je ne sais plus parler en vers et la pr
17 un tel amour est un amour mineur. Mais qui saura jamais la vérité sur aucun être ? Et s’il fallait attendre pour aimer !… Je
18 résence réelle… Comme j’ai peine à m’imaginer que jamais plus je ne la reverrai, cette lumière en ce lieu, secrète et familièr
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
19 oximations, 4e série (novembre 1930)bk Je n’ai jamais cherché rien d’autre que d’approcher mon sujet, en m’identifiant d’au
20 -elle pas précisément dans son refus de sacrifier jamais l’éthique à l’esthétique, et dans ce sens chez tant d’autres émoussé,