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u intéressant. On en a connu bien d’autres de ces
jeunes gens
prétentieux et sincères qui se croient une vocation, végètent dans de
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ortent en eux qu’il en paraît plus incurable. Ces
jeunes gens
n’en finissent pas de peindre leur déséquilibre. Il serait temps de f
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e beautés illusoires l’objet de l’amour. Mais les
jeunes gens
de ce temps ne cultivent point cette fièvre. Et comme la morale ne sa
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ux solutions les plus parfaites qui s’offrent aux
jeunes gens
d’aujourd’hui. Il constate que l’une (celle de Gide) ne fait que diff
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t à être prises au sérieux en France par quelques
jeunes gens
. Il faut louer Drieu d’avoir échappé au surréalisme en tant qu’il n’e