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gie ou de savante sensualité, pour ces insolences
jolies
et les subites violences, qui composent la séduction de cet « homme d
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qui va les étrangler doucement. Ces vers sont de
jolies
flèches empoisonnées. Quelque chose, tout de même, de laqué, d’élégan
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la science à la poésie. Et l’on ne veut voir que
jolis
livres d’étrennes dans les œuvres du plus grand créateur de mythes mo
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sion là où nos psychiatres proposeraient de moins
jolis
mots ; mais ce n’est pas la moindre habileté du biographe. D’ailleurs
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e dit-on. Vous êtes pour la fantaisie, c’est bien
joli
!… » — Non, Monsieur, ce n’est pas joli, ce n’est pas fantaisie. Je p
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’est bien joli !… » — Non, Monsieur, ce n’est pas
joli
, ce n’est pas fantaisie. Je parle simplement de vérité et de mensonge