1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
1 gie ou de savante sensualité, pour ces insolences jolies et les subites violences, qui composent la séduction de cet « homme d
2 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
2 qui va les étrangler doucement. Ces vers sont de jolies flèches empoisonnées. Quelque chose, tout de même, de laqué, d’élégan
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
3 la science à la poésie. Et l’on ne veut voir que jolis livres d’étrennes dans les œuvres du plus grand créateur de mythes mo
4 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
4 sion là où nos psychiatres proposeraient de moins jolis mots ; mais ce n’est pas la moindre habileté du biographe. D’ailleurs
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
5 e dit-on. Vous êtes pour la fantaisie, c’est bien joli  !… » — Non, Monsieur, ce n’est pas joli, ce n’est pas fantaisie. Je p
6 ’est bien joli !… » — Non, Monsieur, ce n’est pas joli , ce n’est pas fantaisie. Je parle simplement de vérité et de mensonge