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rues, il meurt en clamant la paix. M. Fabre avait
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les éléments d’un grand roman : autour d’un sujet de vaste envergure,
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l’angle le plus éloigné du réduit, et se blottit
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, sur le sol, les yeux grands ouverts dans le vide, sans rien voir. A
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le condamner, et nous ne pouvons le suivre jusque-
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: il est vain de dire qu’une époque s’est trompée, puisqu’elle seule
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rtant l’on sourit : il faut bien croire qu’il y a
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un talent, charmant, glacé, spirituellement « poétique ». y. Rouge
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mpathiser avec son idéal de culture. Il n’y a pas
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deux points de vue irréductibles, du moins M. Malraux a fait parler s
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u’il nous peint sont ici tant soit peu russes, et
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, gidiennes. Il se connaît assez pour savoir ce qui est en lui de l’ho
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ision prestigieuse et désolée… M. Jaloux a trouvé
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un sujet qui convient admirablement à son art, où s’unissent aujourd’
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me dans l’une des dernières phrases de Sylvie : «
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était le bonheur, peut-être… »). Mais le ton reste si léger, spiritue
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à notre civilisation, — et je sais bien que c’est
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un des signes de sa décadence. Il y a du chirurgien chez ce soldat de
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e Pourtalès de ce qu’il préfère parler d’illusion
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où nos psychiatres proposeraient de moins jolis mots ; mais ce n’est
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couleur, de rêves, de visages, tandis que ç[à] et
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s’ouvrent des perspectives saisissantes sur l’époque. Anderson est av
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sme, plein de verdeur et souvent d’amertume. Mais
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où d’autres placeraient le couplet humanitariste, lui s’en va dans un
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mépris pour la révélation évangélique. Je ne vois
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que l’indice d’une confusion bien française, hélas. ba. Rougemont
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e situer dans l’ensemble des constructions. C’est
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qu’on entre. Murs nus. Un catafalque de bois, au milieu, recouvert d’
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urer cette mastication. Mais je m’égare, laissons-
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ces moutons. 5. Café amer En Hongrie l’on est assailli par le p
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ui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-
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ne chantant pas. Parmi elles, des Tziganes, dont l’une affreusement b
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de moins en moins à « réfléchir » sa création. De
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sa folie, qu’il pressent. Et M. Babelon cite à ce sujet des phrases t
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fusion de sentimentalisme et de passion, et c’est
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son miracle. Si tu n’as pas le sens de la musique, conserve quelque e
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stridente et basse, prolongée. Peut-être ce soir-
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, ai-je compris la Grande Plaine, et que par sa musique j’étais aux ma
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ar la main. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce
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tout ce qu’elle m’a donné ? Cette notion plus vive d’un univers où la
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res semblables, en voyage, je me dis que c’est de
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que j’ai tiré le sentiment d’absurdité foncière qu’il m’arrive d’épro
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ns insistants, moins concertés. Mais n’est-ce pas
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un défaut qui relève de la nature même d’un esprit « critique » dans
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mble lui conviennent. On le conçoit, ce n’est pas
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se rendre la tâche facile. Cernant de toutes parts son sujet, M. Du B
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itique en présence des obstacles qu’il rencontre,
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où le créateur, supposant le problème résolu (Racine), fait une œuvre