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ittéraire aux philosophes, et trop philosophe aux
littérateurs
. Il manque à M. Fernandez un certain recul par rapport à ses idées, o
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étique, ou ces disciples de Rimbaud, ou enfin ces
littérateurs
antilittéraires, ces « Messieurs les Nymphes ». Mais donner l’air bêt
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action à jugements simples, qui les trouvent trop
littérateurs
. Rien d’étonnant à cela dans une époque où les valeurs de l’esprit so
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e, jusqu’au rire dément, — ses injures de Caliban
littérateur
. Dans un chapitre excellent et peut-être plus audacieux que les autre