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que nous chérissons… Nous apprîmes à mépriser les
longues
vies heureuses que nous avions jusqu’alors enviées, et une nuit, nous
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malgré leur sujet trop pittoresque. « Honneur et
longue
fidélité aux taureaux braves et simplets d’esprit ! Qu’ils paissent é
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rétion, cet air de rêverie d’un homme qui en sait
long
… Et, certes, il faut être un peu mage pour porter tant de richesses a
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nce d’une merveilleuse obsession. Il lui écrit de
longues
lettres, sans les envoyer. Il apprend sa mort, et qu’elle l’aurait pe
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déjà nous passons sous de hauts ponts sonores, au
long
d’un quai tout fleuri de terrasses ; on nous déverse dans cette foule
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a pluie étrangère. Une porte basse s’ouvre sur un
long
corridor hanté d’ombres drapées, qui ne sont pas des nonnes, bien que
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’on annonce Hypérion. Il ne manquera plus que les
longs
poèmes de la maturité — mais ceux-là difficilement traduisibles — pou
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ibrations tendues, horizontales, soutenues par un
long
souffle vif. J’observe que les paroles autant que les gestes sont gou
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ses ! avènement de l’âme aux gestes ! Vous voici,
longs
coups d’ailes en silence au-dessus du gouffre. Je vole sur place, mai
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Une lassitude de steppe brûlante, des ondulations
longues
… Mais un cheval se cabre ; et c’est la danse qui se lève, et des tamb
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i mêlée aux sables de la plaine du Hortobágy, aux
longues
maisons jaunes immensément alignées, autour d’une place rectangulaire
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et d’un coup la subtilise, ne laissant plus qu’un
long
silence soutenu, comme un appel à la rafale dont l’approche déjà fait
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t d’un monde où si peu vaut qu’on le conserve, au
long
d’un chemin effacé par le vent sur la plaine… Ils l’ont perdu comme u