1
les grimaces de douleur de ses tableaux. Il faut
louer
Paul Colin de n’avoir rien caché des médiocrités de cette vie : les r
2
ourir quelque superficialité, du moins faut-il le
louer
d’avoir conservé une vision générale de notre temps et un évident bes
3
de sa critique. Ce n’est que dans sa discrétion à
louer
une grande œuvre qu’on trouvera la mesure de son admiration et le gag
4
t résolu dès les premières pages, mais qu’il faut
louer
Mme Rivier d’avoir posé courageusement. Dirai-je que l’abus des point
5
rieux en France par quelques jeunes gens. Il faut
louer
Drieu d’avoir échappé au surréalisme en tant qu’il n’est que le triom
6
ngible absurdité de notre époque, beaucoup ont dû
louer
des taxis démodés, au tarif inférieur. Des chauffeurs vautrés, la cas