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s’allient une fantaisie et un réalisme également
lyriques
. m. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Simone Téry, L’Île des ba
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uveau ciel. Il l’a transcrite en brèves notations
lyriques
suivant le rythme d’un songe, sans cesse brisé par les élans alternés
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e reste indéniable : c’est son mouvement purement
lyrique
, sa progression accordée à celle des événements inconscients. Certain
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voués, rêves éveillés. Tout un système de valeurs
lyriques
et sentimentales que la raison ignore ou tyrannise aveuglément, car «
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e péril d’un réalisme trop amer et celui du roman
lyrique
, par l’équilibre qu’il maintient entre ces deux inconscients : l’époq
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beau pavé mathématique au milieu d’une effusion «
lyrique
», histoire de n’avoir pas l’air dupe. Mais il a des façons parfois b
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sant des situations mêmes et non de dissertations
lyriques
à leur propos. Mais dans ce roman, il n’y a plus seulement la femme,