1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Simone Téry, L’Île des bardes (décembre 1925)
1 s’allient une fantaisie et un réalisme également lyriques . m. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Simone Téry, L’Île des ba
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Jean Jouve, Paulina 1880 (avril 1926)
2 uveau ciel. Il l’a transcrite en brèves notations lyriques suivant le rythme d’un songe, sans cesse brisé par les élans alternés
3 e reste indéniable : c’est son mouvement purement lyrique , sa progression accordée à celle des événements inconscients. Certain
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
4 voués, rêves éveillés. Tout un système de valeurs lyriques et sentimentales que la raison ignore ou tyrannise aveuglément, car «
5 e péril d’un réalisme trop amer et celui du roman lyrique , par l’équilibre qu’il maintient entre ces deux inconscients : l’époq
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
6 beau pavé mathématique au milieu d’une effusion «  lyrique  », histoire de n’avoir pas l’air dupe. Mais il a des façons parfois b
5 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
7 sant des situations mêmes et non de dissertations lyriques à leur propos. Mais dans ce roman, il n’y a plus seulement la femme,