1 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
1 en disent, « artistiqués », — ils n’osent plus le mensonge de l’art, et pas encore la vérité pure — Crevel décrit sans aucune tr
2 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
2 sa mort et qui est aussi fausse que le reste. Ce mensonge qui va jusqu’à la mort, inclusivement, n’étonnera pas ceux qui ont co
3 ie qui rabaisse tout, peut conduire à préférer un mensonge qui n’est, hélas, qu’une déformation de cette réalité détestée. Le my
4 is reste dans le jeu. Jusque dans la ruse que ses mensonges exigent, il se reconnaît tributaire de la « vérité trop évidente » ;
3 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
5 as fantaisie. Je parle simplement de vérité et de mensonge , opposant une réalité vivante à une duperie commerciale. Mais vous pe
6 et devient extrêmement exigeant, car le plus beau mensonge atteint à peine le degré d’intérêt d’une vérité banale, et seulement
4 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
7 t ce dont on manque : touchantes annexions, pieux mensonges du cœur qui traduisent, à tout prendre, une vérité particulière plus