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en disent, « artistiqués », — ils n’osent plus le
mensonge
de l’art, et pas encore la vérité pure — Crevel décrit sans aucune tr
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sa mort et qui est aussi fausse que le reste. Ce
mensonge
qui va jusqu’à la mort, inclusivement, n’étonnera pas ceux qui ont co
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ie qui rabaisse tout, peut conduire à préférer un
mensonge
qui n’est, hélas, qu’une déformation de cette réalité détestée. Le my
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is reste dans le jeu. Jusque dans la ruse que ses
mensonges
exigent, il se reconnaît tributaire de la « vérité trop évidente » ;
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as fantaisie. Je parle simplement de vérité et de
mensonge
, opposant une réalité vivante à une duperie commerciale. Mais vous pe
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et devient extrêmement exigeant, car le plus beau
mensonge
atteint à peine le degré d’intérêt d’une vérité banale, et seulement
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t ce dont on manque : touchantes annexions, pieux
mensonges
du cœur qui traduisent, à tout prendre, une vérité particulière plus