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oins que la significative pauvreté idéologique et
morale
qu’il révèle. Le style brillant et elliptique qui tend à devenir notr
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n, en dehors de toute préoccupation esthétique ou
morale
. » (p. 42). Le surréalisme ne serait-il donc qu’une sorte de méthode
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ype d’homme profondément antisocial, glorifie une
morale
résolument anarchiste. Ceux qui s’essaient à l’action, c’est encore p
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rise de notre civilisation, il y a un problème de
morale
à résoudre, une conscience individuelle à recréer. Nous y employer, p
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ttent les mêmes brouilles de famille entre Art et
Morale
, Pensée et Action… Ces deux moralistes adonnés à la culture et à la l
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tc. — Certes, aucune époque ne fut à la fois plus
morale
et plus immorale, parce qu’aucune ne s’est autant attachée à chercher
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hique. Presque tous sont hantés par la peur d’une
morale
qui « déforme », qui mutile une tendance naturelle, qui élague, qui o
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té, nous étions dominés par le sens d’une réalité
morale
absolue que certains d’entre nous eussent acheté au prix d’un martyre
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rtus », les pousser jusqu’à l’absurde. Surenchère
morale
dont le début de la Tentative amoureuse offrait déjà une singulière p
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tincts du corps et de l’âme ; vouloir une foi… La
morale
de demain sera en réaction complète contre celle d’aujourd’hui, parce
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re, ne connaître que les grands mots de la langue
morale
, suivre à l’égard de soi-même la méthode de l’Évangile qui, prenant à
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u désordre… (Notes sur la jeune littérature et la
morale
) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mars 1926, p
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Les témoignages ne manquent pas sur la détresse
morale
de la génération surréaliste. Mais tandis que la plupart en sont enco
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ntique de l’art avec la vie, qui empoisonne et la
morale
et l’esthétique modernes. Et à ce propos, il faut souhaiter que M. Fe
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ordre social « comme une adroite fêlure ». Notre
morale
est entièrement subordonnée à l’action ; notre individualisme en naît
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emps ne cultivent point cette fièvre. Et comme la
morale
ne sait plus leur imposer de feindre encore ce que le cœur ne ressent
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re, très « interprété ». Non pas une photographie
morale
, mais une sorte de synthèse de l’homme et de l’homme dans son œuvre,
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’on va demander sa revanche contre la mesquinerie
morale
du milieu… Étrange misère que celle d’une génération qui, après tant
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s haut intérêt », le « prix de l’action » et leur
morale
qui ne parle que d’obligations dont on ne saurait à la légère se déba
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produirait, si par quelque Décret l’on élevait la
Morale
du domaine des actions à celui de la pensée, de l’Apparence à l’Essen