1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Breton, Manifeste du surréalisme (juin 1925)
1 oins que la significative pauvreté idéologique et morale qu’il révèle. Le style brillant et elliptique qui tend à devenir notr
2 n, en dehors de toute préoccupation esthétique ou morale . » (p. 42). Le surréalisme ne serait-il donc qu’une sorte de méthode
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 ype d’homme profondément antisocial, glorifie une morale résolument anarchiste. Ceux qui s’essaient à l’action, c’est encore p
4 rise de notre civilisation, il y a un problème de morale à résoudre, une conscience individuelle à recréer. Nous y employer, p
5 ttent les mêmes brouilles de famille entre Art et Morale , Pensée et Action… Ces deux moralistes adonnés à la culture et à la l
6 tc. — Certes, aucune époque ne fut à la fois plus morale et plus immorale, parce qu’aucune ne s’est autant attachée à chercher
7 hique. Presque tous sont hantés par la peur d’une morale qui « déforme », qui mutile une tendance naturelle, qui élague, qui o
8 té, nous étions dominés par le sens d’une réalité morale absolue que certains d’entre nous eussent acheté au prix d’un martyre
9 rtus », les pousser jusqu’à l’absurde. Surenchère morale dont le début de la Tentative amoureuse offrait déjà une singulière p
10 tincts du corps et de l’âme ; vouloir une foi… La morale de demain sera en réaction complète contre celle d’aujourd’hui, parce
11 re, ne connaître que les grands mots de la langue morale , suivre à l’égard de soi-même la méthode de l’Évangile qui, prenant à
12 u désordre… (Notes sur la jeune littérature et la morale ) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, mars 1926, p
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, Mon corps et moi (mai 1926)
13 Les témoignages ne manquent pas sur la détresse morale de la génération surréaliste. Mais tandis que la plupart en sont enco
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Ramon Fernandez, Messages (juillet 1926)
14 ntique de l’art avec la vie, qui empoisonne et la morale et l’esthétique modernes. Et à ce propos, il faut souhaiter que M. Fe
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
15 ordre social « comme une adroite fêlure ». Notre morale est entièrement subordonnée à l’action ; notre individualisme en naît
6 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
16 emps ne cultivent point cette fièvre. Et comme la morale ne sait plus leur imposer de feindre encore ce que le cœur ne ressent
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
17 re, très « interprété ». Non pas une photographie morale , mais une sorte de synthèse de l’homme et de l’homme dans son œuvre,
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
18 ’on va demander sa revanche contre la mesquinerie morale du milieu… Étrange misère que celle d’une génération qui, après tant
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
19 s haut intérêt », le « prix de l’action » et leur morale qui ne parle que d’obligations dont on ne saurait à la légère se déba
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
20 produirait, si par quelque Décret l’on élevait la Morale du domaine des actions à celui de la pensée, de l’Apparence à l’Essen