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é le rejette dans une angoisse qu’il nomme « élan
mortel
». Cette inversion de tout ce qui est constructif et créateur, voilà
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d’alcools pleins de démons, de drogues peut-être
mortelles
. ab. Rougemont Denis de, « [Compte rendu] Louis Aragon, Le Paysan
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our Arthur, sa « maladie », c’est encore l’« élan
mortel
» que décrivait Mon Corps et Moi. Quand l’analyse féroce de Crevel fo